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Dr François Kampatib de l’ADDI : "Aucun leader de l’opposition n’est un va-en-guerre"
Publié le mercredi 13 septembre 2017  |  Telegramme 228


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
2ème séance plénière de la 2ème session ordinaire de l’année 2016 du Parlement consacrée à l`adoption de deux textes
Lomé, le 18 octobre 2016. Siège du Parlement. Les parlementaires ont adopté d`une part le Projet de loi autorisant la ratification de la Convention de Minamata sur le mercure, adoptée le 10 octobre 2013 à Kumamoto au Japon. D`autre part, ils ont aussi voté pour la loi autorisant l’adhésion du Togo à la Convention pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé, convention adoptée à la Haye, le 14 mai 1954 et ses deux protocoles, adoptés respectivement, le 14 mai 1954 et le 26 mars 1999. Le député Bouraïma-Diabacté de l`UFC. Dr Nagbandja Kampatibe de l`ADDI.


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C’est ce qu’a voulu faire savoir le Conseiller du président de l’ADDI (Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral) et député à l’Assemblée nationale, Dr François Kampatib. En opposition à certaines critiques qui sont formulées contre l’opposition togolaise, de vouloir porter atteinte à la paix sociale en instaurant de par ses manifestations de ces dernières semaines, un climat insurrectionnel, il s’inscrit en faux, et assure qu’ "aucun leader de l’opposition n’est un va-en-guerre".


Aux gouvernants, Dr Kampatib qui intervenait chez nos confrères de Victoire Fm, a tracé la piste unique pour aller vers la paix que l’on clame sur tous les toits. "Pour aller vers la paix, il faut que les dirigeants de ce pays prennent à coeur les aspirations des populations, et tout rentrera dans l’ordre", a-t-il indiqué. Evoquant ces aspirations du moment, il a cité "le retour à la Constitution de 1992, le droit de vote de la diaspora, et le déverouillage des institutions de la République" qui sont des revendications portées par les dernières manifestations de l’opposition.


Quant à ce qui est du retour à la Constitution de 1992 et ses implications, dont l’application immédiate et la rétroactivité, il a fait savoir que "l’application de cette loi est un autre page", et donc parler à l’étape actuelle d’un compromis risque de conduire droit vers une compromission.




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