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Togo-Référendum : UNIR fonce tête baissée !
Publié le mardi 10 octobre 2017  |  icilome


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
2ème séance plénière de la 2ème session ordinaire de l’année 2016 du Parlement consacrée à l`adoption de deux textes
Lomé, le 18 octobre 2016. Siège du Parlement. Les parlementaires ont adopté d`une part le Projet de loi autorisant la ratification de la Convention de Minamata sur le mercure, adoptée le 10 octobre 2013 à Kumamoto au Japon. D`autre part, ils ont aussi voté pour la loi autorisant l’adhésion du Togo à la Convention pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé, convention adoptée à la Haye, le 14 mai 1954 et ses deux protocoles, adoptés respectivement, le 14 mai 1954 et le 26 mars 1999. Christophe TCHAO, Président du Groupe Parlementaire UNIR.


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Malgré les mises en garde de la coalition de l'opposition et du peuple togolais tout entier qui se retrouve dans les rues contre le référendum, le parti au pouvoir fonce la tête baissée, vers ce qui peut créer une implosion sociale.

Sur la chaîne internationale TV5, le Conseiller à la Présidence, Christian Trimua, celui-là même dont les propos ont scandalisé l'opinion nationale et internationale il y a quelques jours, a indiqué que ce référendum va avoir lieu "dans un bref délai".

Pour lui, il faut du temps et des moyens pour organiser cette consultation populaire. Et le gouvernement s'activerait pour le faire malgré tout.

"Il faut tout un processus pour organiser ce référendum. Il faut remettre la CENI en place et permettre qu’elle puisse fonctionner. Dans le budget de 2017, ce référendum n’était pas prévu et donc il faut réorganiser complètement le budget. (…) Nous avions deux échéances en 2018, les législatives et les locales donc maintenant il faut y ajouter une troisième élection(…) ; il faut laisser le temps au gouvernement de s’organiser et de mettre en place les conditions de ces consultations", a-t-il dit.
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