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Boukpessi et Yark renvoient les marches en week-end
Publié le mercredi 11 octobre 2017  |  Telegramme 228


© aLome.com par Parfait
Le Ministre Yark DAMEHANE


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Sans citer de dispositions de la loi sur les manifestations publiques qui les y autorisent, le ministre de l’Administration territoriale, Payadowa Boukpessi, et son collègue de la Sécurité et de la Protection civile, Yark Damehame, face à la presse en ont décidé. "Désormais, les manifestations de rue se tiendront en week-end et, en semaine, les partis politiques devront se contenter de meeting en un lieu fixe", c’est en substance ce qu’ont laissé entendre les deux ministres qui ont fait savoir que la loi sur les manifestations publiques est claire et autorise à prendre des mesures pour éviter toutes dérives au cas où les manifestations ne sont pas souvent pacifiques et sont parfois sorties de leur cadre légal.


Ils fondent leur démarche sur les différentes dérives constatées durant deux mois de manifestation publique de la Coalition des 14 partis de l’opposition togolaise qui réclame un retour à la Constitution de 1992 et le droit de vote des Togolais de la diaspora.

Pour M. Boukpessi, il a été recensé au cours de ces manifestations, des "appels à la violence, désobéissance civile, au sabotage économique, au meurtre des autorités et membres de leurs familles, des responsables des services de sécurité, relevé aussi la présence de manifestants munis de pistolets et armes de guerre à l’intérieur, des destruction de biens, violences et voies de faits sur des forces de l’ordre, incendies et destructions de biens d’autrui, blocages sur la nationale N. 1 à Mango, Sokodé... occupation des places publiques au delà des heures de manifestation publique à Déckon, jets de pierres sur les forces de l’ordre, destruction d’étalages, de boutiques sur le passage des cortèges, caillassage de voitures, pillage de certains magasins, violence sur les élèves en vue de les sortir des salles de classe" qui sont tous ""des faits qui constituent des troubles graves à l’ordre public punis par la loi".

Et donc d’après lui, la loi sur les manifestations étant claire, l’autorité est en droit d’interdire telle ou telle autre manifestation, si elle entend l’appliquer dans sa rigueur. Mais faisant montre d’une sorte de flexibilité, il a rassuré que "les libertés de manifestations publiques sont toujours garanties au Togo, mais se feront dans le respect strict des lois".
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Publié le: 8/10/2017  | 


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