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L’Afrique manque d’informaticiens et cherche des solutions
Publié le jeudi 2 novembre 2017  |  RFI


© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
Women Techmakers (IWD) 2016 dans la capitale togolaise
Lomé, le 19 mars 2016. Hôtel Merlot. Dans le cadre de la commémoration de la Journée internationale de la femme, édition 2016, le Groupe des Développeurs Google (GDG) a organisé le Women Techmakers (IWD) à Lomé, placé sous le thème «Our time to Lead».


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La transformation numérique de l’Afrique passe par la formation. On ne compte plus les écoles africaines qui forment les jeunes aux métiers du numérique et notamment au codage, l’écriture des logiciels et des applications. Mais la demande est telle que ces formations ne suffisent pas. Les entreprises s’y mettent donc.

Pour Mahamadou Diallo, le patron du CIO Mag, bimensuel des nouvelles technologies africaines, la formation doit s’adapter.

«On a des gens très bien formés au niveau ingénieur et au niveau docteur, etc. Mais dans les couches intermédiaires, que ce soit au niveau des techniciens et techniciens supérieurs, on a besoin de main-d’œuvre pour conduire les changements dans les entreprises et les administrations africaines. »

Il faut s’adapter aux besoins, mais aussi au rythme. Car si créer des universités, est nécessaire, c’est long et couteux. Pour aller plus vite des solutions existent selon Mahamadou Diallo.

«Je pense que si l’on reste sur le schéma actuel, on ne pourra pas s’en sortir. Le numérique offre aujourd’hui des possibilités à travers les Mooc, à travers les formations à distance ; aujourd’hui on n’a pas besoin d’aller à l’université pour se former. J’ai des gens qui sont aujourd’hui talentueux qui grâce aux Mooc arrivent à trouver des solutions à des problèmes. Tous aujourd’hui se mettent sur ces créneaux».

Les entreprises prennent le taureau par les cornes, c’est le cas d’Orange, l’opérateur téléphonique français. Bruno Mettling est son directeur général pour l’Afrique et le Moyen-Orient.
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