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Bastonnade des manifestants à Sokodé et Bafilo/Bawara fait foi aux préfets pour le respect des dispositions légales
Publié le mardi 7 novembre 2017  |  Telegramme 228


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Séance de questions orales au Parlement touchant les ministères de l`Enseignement et de la Sécurité
Lomé, le 27 octobre 2016. Assemblée Nationale. Les Députés GOGUE Tchabouré et KAMPATIBE d`ADDI et Jean Hotonou KISSI du CAR ont interpellé le Gouvernement sur la reprise partielle du concours d’entrée dans les ENI de Tsévié et Dapaong, la réhabilitation des Commissariats de police de Dapaong et de Niamtougou et l’élaboration du statut particulier des enseignants. Ont répondu à cette interpellation, les ministres Komi Tchakpele des Enseignements primaire et secondaire, Gilbert Badjilbayéna BAWARA de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative, et Yark Damehane de la Sécurité et de la Protection civile. Sur cette photo, G. B. BAWARA.


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Nous informions dans la matinée de cette situation de dispersion systématique de tout regroupement et de bastonnade de manifestants, entrainant des heurts entre ces derniers et des forces de sécurité et de défense déployées à Sokodé dans la préfecture de Tchaoudjo, et à Bafilo dans la préfecture de l’Assoli, suite à des informations rapportées à notre rédaction par des acteurs des organisations de défense des droits de l’Homme. Ce midi, ce sont les députés ANC, Ouro Akpo Tchagnao, (Tchaoudjo) et Fofana (Assoli), qui sont venus confirmer ces informations qu’ils disent dénoncer avec le dernier degré de rigueur, parce que, indiquant avoir fait toutes les formalités possibles auprès des représentants de l’autorité centrale.

A Sokodé par exemple d’après l’honorable Tchagnao, Kpangalam, Koma, Kouloumdé, Kparatao ont été les quartiers où la répression a eu cours et les passants molestés, malgré qu’ils aient "fait les démarches" pour ces trois jours de manifestation et n’aient "reçu de notification de qui que ce soit".

En réaction à ces incidents de ce matin à Sokodé et à Bafilo, le ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Réforme administrative, Gilbert Bawara, a indiqué pour sa part "ne sais pas si à Bafilo, il était prévu des manifestations ou pas".


Ceci, avant de poursuivre, "vous savez, je ferai davantage foi et davantage confiance aux autorités locales et notamment aux préfets, pour en savoir davantage, parce que, j’ai entendu de la part des responsables de la Coalition depuis Lomé qu’ils laissaient le soin aux responsables locaux de leurs partis politiques et de leur Coalition d’entreprendre les démarches requises par la loi de 2011 relative aux libertés de réunion et de manifestation afin de s’assurer que si manifestation il y a, cette manifestation ait lieu dans le respect des dispositions légales".


M. Bawara entend dès lors voir organisateurs et représentants de l’autorité centrale oeuvrer pour "un travail de concertation, de coordination et de coopération entre les services d’ordre des organisateurs des manifestations à Lomé ou à l’intérieur du pays afin que d’une part, les libertés de manifestation et de réunion puissent être préservées et respectées et d’autre part que nous puissions éviter ces risques de malentendus, d’incompréhension et même ce genre d’incident".


Ainsi réagissait l’ancien ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et des Collectivités locales.
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Publié le: 30/10/2017  | 


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