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Football : Hervé Renard, le faiseur de miracles
Publié le mardi 28 novembre 2017  |  Jeune Afrique


© aLome.com par Atapointe
CAN 2017: Match Maroc - Côte d`Ivoire
Oyem le 24 janvier 2017. Les Lions de l`Atlas affrontent les Eléphants de Côte d`Ivoire dans le cadre du 3eme match de poule comptant pour la CAN 2017


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Il vient d’offrir aux Lions marocains la qualification pour la Coupe du monde de football 2018 en Russie. L’entraîneur français a déjà fait ses armes sur le continent, qu’il a su conquérir à coups de victoires.

Ce 8 février 2015, dans le stade de Bata, en Guinée équatoriale, Hervé Renard tombe la légendaire chemise immaculée, de marque italienne, qu’il porte à chaque match, laissant apparaître sous sa gueule d’ange un corps musculeux. Les Ivoiriens, que ce sélectionneur français entraîne depuis un an, l’appellent « le sorcier blanc ».

Les joueurs l’entourent, le célèbrent : le Français vient de leur offrir la Coupe d’Afrique. Rien n’était pourtant gagné pour les Éléphants. Mais Renard a relevé le défi. Son charisme lui a même permis de tempérer les ardeurs d’un Yaya Touré pour l’utiliser à sa juste valeur.

L’homme aux miracles

En 2012, contre toute attente, il avait déjà sacré la Zambie. Renard est à son aise en Afrique. Sans doute un legs de son mentor, le Français Claude Le Roy, qui a entre autres entraîné le Sénégal, le Ghana et le Cameroun. Après un retour éclair en France en 2015, au Losc Lille – il est remercié après quelques mois –, il apprend que la Confédération africaine de football lui remet le titre de meilleur entraîneur de l’année.


C’est dans les pays du Sud que Renard sait saisir sa chance, malgré quelques déboires, comme ce contrat qui n’aura pas duré avec l’Angola. En 2016, il rejoint une équipe marocaine mal en point pour quelque 500 000 dirhams (46 500 euros) par mois.

Selon la rumeur, il aurait pu rejoindre les Fennecs algériens, lui qui a coaché l’USM d’Alger en 2011, mais «Fouzi Lekjaa, le boss de la Fédération royale de football, avait décidé que Renard serait son nouveau coach. Il l’a convaincu de venir », glisse un connaisseur du foot marocain.
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