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Carte : que dit la Constitution de votre pays sur la limitation des mandats présidentiels?
Publié le jeudi 21 decembre 2017  |  Jeune Afrique


© aLome.com par Parfait
Le parlement togolais vote contre le projet de loi sur les réformes politiques déposé sur sa table par le gouvernement.


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Journée symbolique, aujourd'hui en RDC : voilà un an que Joseph Kabila aurait dû quitter le pouvoir au terme de son second mandat, selon les termes de la Constitution. L'occasion de dresser l'état des lieux des règles qui encadrent les mandats présidentiels dans les Constitutions africaines.

Il y a un an, jour pour jour, Joseph Kabila, président de la République démocratique du Congo, devait quitter le pouvoir au terme de son second mandat, le 19 décembre 2016, comme le prévoit la Constitution. Son maintien à la tête de l’État a provoqué une importante crise politique dans le pays. Plusieurs manifestations réclamant son départ ont lieu en RDC, faisant de nombreux morts et blessés.

L’élection de son successeur a été repoussée à plusieurs reprises, officiellement pour des raisons de logistiques et financières. Sous la pression de la communauté internationale et de l’opposition congolaise, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), a finalement annoncé le 5 novembre dernier, avoir fixé les prochaines élections présidentielles, législatives et provinciales du pays au 23 décembre 2018.

Contrairement à certains de ses homologues africains, Joseph Kabila n’a pas modifié la Constitution afin de rester à la tête de la RDC. Pourtant, depuis le début des années 1990, les révisions constitutionnelles pour conserver le pouvoir sont devenues choses courantes sur le continent.

Traficoter la Constitution

Le principe est plutôt simple. Nombre de présidents dont le mandat arrive à échéance profitent d’un contexte qui leur est favorable pour modifier le nombre de mandats dans la loi fondamentale de leur pays.
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