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Togo/’Présumé assassinat des militaires’: Gilbert Bawara rougit devant le doute de l’opposition
Publié le mardi 9 janvier 2018  |  icilome


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Remise du relevé de conclusion des travaux du Groupe de travail sur le secteur de l’éducation nationale au PM Klassou
Lomé, le 10 mars 2017. Primature. Le Premier ministre Selom Klassou a présidé à la remise du relevé de conclusion des travaux du Groupe de travail sur le secteur de l’éducation nationale. C’est le Ministre de la Fonction publique, Gilbert B. Bawara qui a remis ce document au chef du Gouvernement, en présence des participants à ce groupe de travail.


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En conférence de presse lundi, certains responsables de l’opposition, en l’occurrence Antoine Folly et Jean Kissi, ont clairement exprimé leur doute sur les allégations du gouvernement au sujet d’une présumée « mort de deux militaires» en octobre dernier à Sokodé.

Le présomptif « lynchage/ égorgement/décapitation» (les termes varient selon les ministres et leurs humeurs dans différentes sorties médiatiques), sont attribués à des présumés militants violents de l’opposition à Sokodé.

Pendant que le gouvernement qui se confond très souvent au parti au pouvoir (UNIR), accuse et annonce rechercher ardemment des coupables, l’opposition a requis une enquête indépendante internationale pour mettre la lumière sur les faits et situer les responsabilités.

Le gouvernement adhère à l’idée, mais ne passe pas jusque-là à l’action. Au même moment, le Chef de l’Etat et ses collaborateurs dont le ministre Gilbert Bawara ne tarissent pas de menaces, allant jusqu’à interdire toute action politique dans les villes de Mango, Bafilo et Sokodé sous prétexte que deux armes seraient arrachées aux militaires et détenues par les populations civiles.

«Si vous tentez une rencontre politique dans ces villes et que, quelqu’un vient à vous cribler de balles, nous nous désengageons des conséquences », telles se résument les menaces des ministres en charge de l’Administration territoriale et son collège de la Sécurité et de la Protection civile à l’endroit des responsables de la Coalition de l’opposition.
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Publié le: 15/12/2017  | 


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