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L`opposition togolaise annonce de nouvelles marches populaires
Publié le dimanche 28 janvier 2018  |  Agence de Presse Africaine


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchako
Marche en noir des femmes de la Coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise
Lomé, le 20 janvier 2018. Marche en noir des femmes de la Coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise. Partie de trois points, cette marche a chuté à Casablanca devant le "Grand collège du Plateau" où s’est tenu un meeting d’information. Les manifestantes ont menacé de faire usage de leur «ultime arme contre les hommes» si les choses continuent à piétiner. Elles étaient des milliers à répondre à l’appel de leurs leaders, toutes de noir vêtues. Les hommes étaient là pour soutenir et assurer l’encadrement de la manifestation. Ce fut une occasion pour la coordinatrice de la coalition, Mme Brigitte ADJAMAGBO-JOHNSON, de faire le point sur la tournée de la délégation de la Coalition en Guinée et au Ghana pour rencontrer les deux médiateurs dans la crise togolaise.


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La coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise annonce, dans un communiqué reçu à APA, l’organisation de « grandes manifestations nationales » sur toute l’étendue du territoire national, le mercredi 31 janvier, le jeudi 1er février et le samedi 3 février 2018.

A travers ces nouvelles manifestations, l’opposition copte demander « le retour à la Constitution originelle du 14 Octobre 1992, la révision du cadre électoral et l’instauration du droit de vote des togolais de l’étranger », précise le communiqué.

Ces marches populaires, ajoute le communiqué, visent également à « exiger la libération immédiate et sans conditions, de tous les prisonniers politiques », « l’arrêt immédiat des persécutions, des arrestations, des poursuites et des violences à l’encontre des militants et dirigeants des partis politiques de l’opposition » et « l’arrêt immédiat des entraves à l’exercice du droit constitutionnel de manifestation ».

D’après le communiqué, les manifestations seront une fois encore, l’occasion pour l’oposition de « dénoncer les répressions sauvages des manifestations pacifiques publiques » survenues depuis le début de la crise, et d’ « exiger qu’une enquête indépendante soit diligentée pour situer les responsabilités et traduire en justice les auteurs et commanditaires ».

Jusqu’ici les manifestations ont occasionné plus d’une quinzaine de morts et environ 200 blessés.


NML/cat/APA

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