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Togo: des prisonniers bénéficient d’une libération provisoire
Publié le jeudi 22 fevrier 2018  |  RFI


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchako
Préparation du dialogue intertogolais 2018: la facilitation annonce le communiqué issu des travaux préparatoires
Lomé, le 18 février 2018. Hôtel 02 FEVRIER. Préparation du dialogue intertogolais 2018: la facilitation ghanéenne annonce le communiqué issu des travaux préparatoires.


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Au Togo, le dialogue politique amorcé à Lomé le 19 février dernier pour une sortie de crise commence à faire son effet. Les détenus dans l'affaire des incendies des marchés de Kara et Lomé retrouvent leurs familles. Ils ont tous bénéficié d'une liberté provisoire ce 21 février et sont rentrés chez eux.

Au Togo, six personnes étaient encore en détention dans l'affaire des incendies des marchés de Kara et de Lomé de janvier 2013. Elles ont regagné leurs familles respectives ce 21 février après avoir obtenu la mise en liberté provisoire et avoir été placées sous contrôle judiciaire.

Au total, 35 personnes ont été libérées ce 20 février, six le 21 février. Quarante-deux sont encore en détention, selon le ministre de la Justice, Pius Agbétomey. Selon le garde des Sceaux, elles sont sous le coup d'une procédure criminelle et quatre autres sont sous celui d'une procédure correctionnelle, dont le jugement est en cours.


Sujets en suspens

Eric Dupuy, chargé de la communication de la coalition, demande d'autres signes de la part des autorités. « On attend d'avantage puisqu'on ne peut pas accepter que des militants, parce qu'ils contestent le régime, soient emprisonnés, déclare-t-il. Pour nous, il faut que tous ces prisonniers soient relâchés, que les inculpations soient levées suite aux incendies des marchés de Kara et de Lomé. Ils sont toujours sous le coup d'une inculpation au même titre que Jean-Pierre Fabre, chef de file de l'opposition. Ceci, pour nous, est totalement inadmissible. Nous demandons un règlement politique de cette affaire ».

« Et puis surtout, poursuit Eric Dupuy, il y a trois villes qui sont encore en état de quasi-siège. Je veux parler de Sokodé, Mango et Bafilo. Il y a beaucoup de réfugiés togolais provenant de ces trois villes qui sont au Ghana et au Bénin. Donc, nous ne pouvons pas accepter d'aller aux discussions tant que ces mesures d'apaisement ne sont pas réalisées dans leur entièreté ».


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