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Yark Damehame : «Il n’y a rien eu à Kparatao»
Publié le jeudi 8 mars 2018  |  La Voix de la Nation


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Conférence de presse du ministre Yark pour faire le point de la situation au soir du 18 octobre
Lomé, le 18 octobre 2017. Ministère de la Sécurité et de la Protection Civile. Conférence de presse du ministre Yark pour faire le point de la situation sécuritaire au Togo au soir du 18 octobre. Le ministre D. YARK.


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Face à la presse ce mercredi à Lomé, le ministre de la sécurité et de la protection civile, le Colonel Yark Damehame a démenti les informations selon lesquelles, il y aurait eu dans la nuit du 24 au 25 février dernier, des actes de violences exercées par des militaires sur les populations de Kparatao, village de Tikpi Atchadam, le leader du Parti National Panafricain PNP (opposition).

«Dans la nuit du 24 au 25 février, il n’y a rien eu à Kparatao, rien du tout », a martelé le ministre de la sécurité, qui avait à ses côté, son collègue Guy Madjé Lorenzo en charge de la Communication.

Selon ses explications, c’est un jeune de Kparatao qui aurait fait un audio pour balancer sur les réseaux sociaux. Ce jeune, dit-il, a été démasqué et conduit avec son papa chez le chef du canton dans lequel se trouve la localité.

Le ministre Yark s’est dit surpris de ce que cette affaire soit le premier motif de la reprise des marches de la coalition des 14 partis de l’opposition. Il a fait savoir que dans le courrier annonçant les marches de la semaine prochaine, la coalition de l’opposition exige « la poursuite des auteurs des actes de violences exercées sur les populations de Kparatao qui ont été passées à tabac sans ménagement dans la nuit du 24 au 25 février en violation des mesures d’apaisement ».


Il faut rappeler que la Coalition de l’opposition a annoncé de nouvelles manifestations les 13, 14, 15, et 17 Mars prochains à Lomé et dans plusieurs autres localités du pays pour, au-delà de cette affaire de Kparatao, protester contre la poursuite du processus électoral par le Gouvernement.

Au sujet de ces marches, le ministre de la sécurité a saisi l’occasion pour réitérer l’interdiction des manifestations politiques dans les villes de Sokodé, Bafilo et Mango, tant que les armes qui avaient disparu n’ont pas été retrouvées.

Pour sa part, Guy Madjé Lorenzo a demandé aux journalistes de ne pas « jeter de l’huile sur le feu » en ces moments sensibles de l’histoire du pays, en les appelant à plus de professionnalisme notamment en termes de vérification de l’information avant toute publication.



David

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