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Lorenzo aux journalistes : ‘Il ne faut pas être le rédacteur de quelqu’un qui a un agenda caché’
Publié le jeudi 8 mars 2018  |  GLOBAL ACTU


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
Faure GNASSINGBE inaugure la salle de cinéma et de spectacles Canalolympia, financée par le groupe Bolloré
Lomé, le 24 octobre 2017. Hanoukopé. Faure GNASSINGBE inaugure la salle de cinéma et de spectacles Canalolympia, financée par le groupe Bolloré. Cette nouvelle infrastructure est censée combler un grand vide laissé par la fermeture de toutes les grandes salles de cinéma dans la capitale togolaise depuis plusieurs années. La construction de cette nouvelle salle a été financée par le groupe Bolloré dont le PDG, Vincent Bolloré, a aussi pris part à cette inauguration. Guy Lorenzo.


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«La paix dans notre pays dépend de vous. S’il y a la paix, il y en a pour tous les Togolais ». C’est l’adresse que le ministre en charge de la communication, Guy Madjé Lorenzo, a lancée ce mercredi aux hommes et femmes de médias, lors de la conférence de presse conjointe qu’il a donnée avec son collègue de la sécurité et de la protection civile, Yark Damehame, sur l’actualité politique du pays.

Selon lui, il appartient aux journalistes de ne pas jeter de l’huile sur le feu, en ces temps de crise sociopolitique que traverse le pays.

«Un journaliste, avant de rapporter un fait, peu importe là où il se trouve, doit vérifier l’information. Il ne faut pas être le rédacteur de quelqu’un qui a un agenda caché», a-t-il indiqué.

Le ministre de la sécurité aussi n’a pas loupé cette occasion pour dire un mot aux médias représentés à cette rencontre avec la presse togolaise et internationale. « N’encouragez pas les gens à vous exploiter et à vous dénigrer », a-t-il ajouté à tout ce que son collègue a souhaité.

Au cœur des échanges entre les deux (2) ministres et les journalistes, il a été question de l’ « expédition punitive » que les populations de Kparatao, le village du leader du Parti national panafricain (PNP), Tikpi Atchadam, auraient subies de la part des militaires, selon la coalition des 14 partis politiques de l’opposition. C’est l’une des deux raisons pour lesquelles cette coalition rompt avec son engagement pris au cours du dialogue et projette une manifestation de quatre (4) jours la semaine prochaine.
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