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Togo: l’opposition réitère son refus d’une candidature de Gnassingbé en 2020
Publié le mardi 27 mars 2018  |  RFI


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
1ère Conférence de presse de la Coalition des 14 depuis la suspension des travaux du 27è dialogue intertogolais le 23 février 2018
Lomé, le 1er mars 2018. Siège de la CDPA. 1ère Conférence de presse de la Coalition des 14 depuis la suspension des travaux du 27è dialogue intertogolais le 23 février 2018.


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L’opposition accepte de faire quelques concessions pour une sortie de crise. Le facilitateur dans le dialogue togolais a constaté l’impasse dans laquelle se trouvaient les pourparlers entre le pouvoir et l’opposition togolaise vendredi 23 mars et suspendu les discussions. En conférence de presse lundi, l’opposition a dit les concessions qu’elle était en mesure de faire et qu’elle a soumis au facilitateur, le président Nana-Akoufo-Addo du Ghana au cours des discussions.

On en sait davantage sur le troisième round du dialogue togolais repris vendredi dernier et suspendu quelques heures après. Selon le communiqué de la coalition des 14 partis de l’opposition, les travaux se sont déroulés en une série de plénières et de consultations au cours desquelles le facilitateur, le président Nana Akufo-Addo, a souhaité connaître la limite que chacune des parties s’impose.

La réponse de Jean-Pierre Fabre, chef de file de l’opposition : « Nous ne pouvons pas laisser Faure Gnassingé être candidat en 2020, ce n'est pas possible, il n'est pas question que nous l'acceptions. Donc nous avons donné les conditions d'éligibilité du président de la République : la limitation des mandats, avec la mention que nous ne lâcherons jamais. »

A ces points s’ajoutent le mode de scrutin uninominal à deux tours pour l’élection du président de la République, les prérogatives et le mode de désignation du Premier ministre, et la recomposition de la Cour constitutionnelle. Enfin, l’opposition ne compte pas laisser le président Faure Gnassingbé gouverner seul jusqu’en 2020.

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