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David Dosseh et Antoine Gbandjou attendus ce lundi à la Gendarmerie malgré leur libération
Publié le lundi 9 avril 2018  |  La Voix de la Nation


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" sur l`avenir du dialogue intertogolais 2018
Lomé, le 1er mars 2018. Maison de la Santé. Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" sur l`avenir du dialogue intertogolais 2018.


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Le premier porte-parole du Front Citoyen Togo Debout (FCTD), Pr. David Ekoué DOSSEH et un autre membre du Front en la personne de Antoine GBANDJOU interpellés par la Gendarmerie dans l’après midi de ce samedi ont été libérés dans la soirée. Mais ils devront répondre ce lundi 09 avril à une convocation de la gendarmerie pour la reprise de l’interrogatoire, selon Me Raphaël KPANDE-ADZARE, un autre membre du FCTD.

David Ekoue DOSSEH Antoine GBANDJOU avaient été arrêtés au moment où le Front Citoyen Togo Debout s’apprêtait à organiser ce samedi 07 avril au quartier Tokoin Cassablanca, un «meeting d’information de veille citoyenne et d’exhortation républicaine», un meeting entre temps interdit par les autorités notamment le Président de la Délégation spéciale de la commune de Lomé, Contre-Amiral Fogan Adégnon.

«Dès que certains responsables et membres du FCTD sont arrivés sur les lieux, ils ont été automatiquement interpellés par les forces de l’ordre et de sécurité présents et ceci en dehors de tout attroupement et en l’absence d’indice attestant la tenue effective du meeting», a déploré dans un communiqué rendu public, le FCTD qui a exigé «la libération sans conditions » de ses leaders arrêtés.


La Mairie de Lomé évoque pour justifier cette interdiction du meeting, le règlement intérieur du dialogue inter-togolais qui interdisait toute manifestation publique durant le déroulement des discussions. Les responsables de ce regroupement d’organisations de la société civile togolaise soutiennent pour leur part que la liberté de réunions et de manifestations pacifiques publiques est un droit universellement reconnu et constitutionnellement protégé, et que le Président de la délégation spéciale de la ville de Lomé n’a pas le droit d’interdire leur manifestation sur la base du communiqué du dialogue politique.




Cris DADA
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