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Togo/ Samedi au siège de la CDPA: ’C’était une agression ayant pour objectif de casser le moral des leaders’
Publié le lundi 16 avril 2018  |  icilome


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchako
Conférence de presse de la Coalition des 14 après les violences ayant marqué les départs étouffés de leur marche
Lomé, le 11 avril 2018. Siège de la CDPA. Conférence de presse. Bilan du 1er jour de l`appel à manifestation de rue de la coalition de 14 partis politiques de l’opposition togolaise. C`est le 1er appel du genre depuis l’ouverture du dialogue intertogolais le 19 février dernier. La coalition fait état de plusieurs blessés et de certains véhicules de ses leaders endommagés. Elle annonce également la poursuite de ces manifestations jeudi et samedi. Aux dires du chef de file de l’opposition, Jean-Pierre FABRE, ces actes "constituent des tentatives d’assassinat" et ne manqueront pas d’avoir des suites judiciaires. Nathaniel Olympio du PT.


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Samedi dernier, les forces de l’ordre et les militaires, lourdement armés, ont tenté de séquestrer les leaders de la Coalition des 14 qui étaient en pleine réunion au siège de la Convention Démocratique des Peuples Africains (CDPA).

Intervenant ce lundi matin sur les ondes de Victoire FM, Nathaniel Olympio du « Parti des Togolais » donne sa version de ce qui s'est passé samedi dernier au siège de la CDPA.

« Samedi, nous avons organisé une réunion au siège de la CDPA. Et c’est au cours de cette réunion que nous avons été informés de la présence de militaires armés dans la ruelle où est situé le siège de la CDPA. Au début, nous avons cru que c’était les dispositions sécuritaires puisque ce samedi même il y avait un sommet des chefs d’États de la sous-région.

Mais notre surprise a été grande lorsque nous avons subitement constaté que ces éléments armés se mettaient en position de tir. Et bien évidement, après cela, les tirs des gaz lacrymogènes ont commencé sans aucune raison apparente. Nous étions dans un bureau pour faire une réunion, nous n’étions pas dans la rue. Bien attendu, nos agents de sécurités, nos chauffeurs et tout ce petit monde qui nous accompagnait étaient présents dans la ruelle. Ce n’était même pas un meeting qui a été organisé. Ce n’était même pas une causerie publique.
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