Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Société

L’ACAT-Togo dénonce la répression des manifestants de l’opposition
Publié le lundi 23 avril 2018  |  Icilome


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchako
Marche en noir des femmes de la Coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise
Lomé, le 20 janvier 2018. Marche en noir des femmes de la Coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise. Partie de trois points, cette marche a chuté à Casablanca devant le "Grand collège du Plateau" où s’est tenu un meeting d’information. Les manifestantes ont menacé de faire usage de leur «ultime arme contre les hommes» si les choses continuent à piétiner. Elles étaient des milliers à répondre à l’appel de leurs leaders, toutes de noir vêtues. Les hommes étaient là pour soutenir et assurer l’encadrement de la manifestation. Ce fut une occasion pour la coordinatrice de la coalition, Mme Brigitte ADJAMAGBO-JOHNSON, de faire le point sur la tournée de la délégation de la Coalition en Guinée et au Ghana pour rencontrer les deux médiateurs dans la crise togolaise.


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


L’Association des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture au Togo (ACAT-Togo) s’indigne de la répression des manifestations de la Coalition des 14 partis de l’opposition les 11 et 14 avril 2018.


L’ACAT-Togo, dans un document, constate « l’usage disproportionné de la force » lors des manifestations de la Coalition de l’opposition les 11 et 14 avril 2018.

Elle « condamne une fois encore ces arrestations et détentions arbitraires des citoyens pour avoir exercé les droits et libertés garantis par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme ».

Selon elle, 27 personnes arrêtées dans le cadre de ces manifestations ont été déposées en prison. Le 17 avril, elles sont jugées. A l’issue du procès, une dizaine a été libérée. Les autres sont condamnées à des peines d’emprisonnement.



A.H.
... suite de l'article sur Autre presse




Profession de foi de Faure Gnassingbe en la CEDEAO et ses défis urgents
Publié le: 22/4/2018  | 


 Commentaires