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L’ "alternance politique réussie", un passage obligé pour une fin de crise, d’après Gilchrist Olympio
Publié le jeudi 26 avril 2018  |  Le Télégramme du Togo


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
Gilchrist Olympio demande à Faure Gnassingbé de ne pas briguer un 4ème mandat en 2020
Lomé, le 28 novembre 2017. Résidence principale de Gilchrist Olympio. Quartier Tokoin-Wuiti. Point de presse. Gilchrist Olympio, leader de l`UFC, demande expressément à Faure Gnassingbé de ne pas briguer un 4ème mandat en 2020 pour une solution politique stable et durable à la crise togolaise.


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Comme à son habitude, le président national de l’UFC (Union des Forces de Changement), Gilchrist Olympio ne s’est pas privé à la veille de la célébration des 58 ans d’indépendance du Togo de s’adresser à ses concitoyens.


Et surtout que le pays est dans une crise socio-politique qui a vu le jour depuis le 19 Août dernier, il ne s’est pas privé de focaliser son adresse sur le sujet. De par ses mots, il en ressort que "l’intérêt général de tous les acteurs politiques, qu’ils participent au dialogue ou non", est "qu’ils contribuent de la meilleure manière possible à une issue heureuse de la crise, dont le but est une alternance politique réussie". Aussi, pour le premier responsable de l’UFC, "ne devons-nous pas perdre de vue la nécessité de l’unicité d’actions de l’opposition dans notre combat pour l’enracinement de la démocratie, la fin du long règne du régime en place et la victoire aux prochaines élections qui doivent être libres, transparentes et crédibles".


Et pour en arriver là, il "exhorte les acteurs politiques togolais à la nécessaire humilité, à la modestie et au dépassement de soi pour trouver avec l’appui de la CEDEAO, des solutions durables à la crise qui mine notre pays", et à "l’impérieux devoir d’opérer des réformes institutionnelles et constitutionnelles fiables devant propulser le Togo sur la voie d’une démocratie consensuelle".


Pour ce qui est de la situation actuelle qui prévaut et dont le pouvoir de Faure Gnassingbé doit en tirer les conséquences, le parti au symbole du palmier rouge, croit savoir qu’on aurait pu ne pas en arriver là si l’ultime chance d’opérer les réformes institutionnelles et constitutionnelles dans l’esprit du dialogue, de la paix et de l’essor économique de notre chère patrie, par le biais de l’Accord RPT/UFC du 26 mai 2010, avait été saisie par le pouvoir en place.
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