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Droits de l’Homme et situation sociopolitique au Togo/Très préoccupée, la FIDH s’en remet à la CADHP
Publié le mardi 1 mai 2018  |  Telegramme 228


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Scènes de violences au 1er des deux jours (18 & 19 octobre) de marche empêchée de l`opposition
Lomé, le 18 octobre 2017. Quelques artères de la capitale togolaise. Scènes d`échauffourées entre forces de l`ordre et manifestants. Une journée marquée par l`entrée en action de miliciens.


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Du 25 Avril au 09 Mai 2018, la capitale mauritanienne Nouakchott abrite les assises de la 62ème session de la CADHP (Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples. Présente à ce rendez-vous des Droits de l’Homme sur le continent africain, la FIDH (Fédération Internationale des Droits de l’Homme) ne passe pas sous silence le cas Togo.

Très préoccupée par la situation socio-politique dans le pays de Faure Gnassingbé depuis le mois d’Août de l’année 2017, la FIDH par cette tribune formule des exhortations.

D’abord, elle "exhorte l’Union Africaine à œuvrer aux côtés du Peuple Togolais, en vue de l’alternance et du respect des principes démocratiques".

Aussi, compte-elle particulièrement sur l’expertise de la CADHP pour organiser notamment au Togo, "une Visite d’Etat en vue de rencontrer les protagonistes de la crise socio-politique et donner un souffle au dialogue en cours", "mener une enquête impartiale sur les multiples cas de violations des droits humains soulevées et décriés" et enfin, "lancer un appel pressant au gouvernement togolais en vue de la libération de tous les prisonniers politiques et des défenseurs des droits humains encore en détention".

Si la FIDH condamne la répression sévère des manifestations de revendication de plus de liberté et de démocratie des Togolais par "la police, la gendarmerie et surtout l’armée" qui massacrent "des citoyens par des coups de matraques, des tirs à bout portant de grenades lacrymogènes, de balles en caoutchouc et même quelques fois de balles réelles", elle n’est pas non plus d’accord que "le dialogue amorcé depuis plus de deux (2) mois déjà, sous la facilitation du Chef de l’Etat Ghanéen" constitue "pour le pouvoir, une occasion pour gagner du temps en vue d’organiser en solo, des élections frauduleuses".


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