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Togo : la facilitation ghanéenne dément son désistement

Publié le vendredi 25 mai 2018  |  Africa RDV
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© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchako
2e jour des travaux du dialogue intertogolais en présence du facilitateur Akufo-Addo
Lomé, le 23 février 2018. 2e jour des travaux du dialogue intertogolais en présence du facilitateur Akufo-Addo. Les discussions ont buté sur divers blocages et sont reportées sine die. Nana Akufo-Addo.
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Depuis quelques jours, circulent sur des réseaux sociaux et des sites d’informations réputés sérieux, des informations relatives à un quelconque désistement du président ghanéen Dankwaa Nana Akufo-Addo de la facilitation dans la crise sociotogolaise. « Faux ! », apprend-t-on dans le cercle de l’administration ghanéenne.

Ces portails d’informations arguent que cela se justifie par l’absence d’avancées et les multiples reports. «Ce n’est pas le cas en tout cas chez nous. C’est sans nul doute sorti de leur propre imagination», a confié à la rédaction d’Africa rendez-vous, une source interne de la facilitation qui a requis l’anonymat.

«Nous sommes dans un processus, quoi que devenu long, mais nous croyons fort à une sortie de crise. Nous ne pouvons en aucun cas abdiquer et décider par nous-mêmes de nous arrêter en si bon chemin », a expliqué notre interlocuteur.

Au Togo, nombreux sont les observateurs qui ont un regard dubitatif sur l’issue heureuse de la facilitation ghanéenne depuis que le dialogue semble avoir été rompu entre les parties prenantes.

Le président ghanéen Dankwaa Nana Akufo-Addo a, à plusieurs reprises, été félicité pour son leadership dans la résolution de la crise.

Des discussions bilatérales ont une fois encore repris dans la capitale ghanéenne avec le facilitateur. Celui-ci devra présenter au prochain sommet de la CEDEAO en juin au Nigéria, un bilan et une feuille de route claire à l’amendement de ses pairs pour que cette crise soit enterrée.

Dans la capitale togolaise, pouvoir comme opposition attendent fort de ce sommet au cours duquel, le contesté président togolais Faure Gnassingbé devra passer le témoin au Nigérian Muhammadu Buhari.

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