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Art et Culture

Clap Ivoire: 2 films togolais dans les starting-blocks

Publié le lundi 9 juillet 2018  |  Africa RDV
La
© Autre presse par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
La gestion du Fonds d’aide à la Culture 2018 au cœur d’une rencontre d’échanges entre artistes togolais et le ministère en charge de la Culture
Lomé, le 05 juillet 2018. Salle Eyadèma de la SAZOF. La gestion du Fonds d’aide à la Culture 2018 au cœur d’une rencontre d’échanges entre artistes togolais et le ministère en charge des Arts et de la Culture. Fonds communément appelé FAC (Fonds d’aide à la culture), il a été créé par décret présidentiel en 1990 et mis en application depuis 2013.
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Le Togo sera représenté au festival international de film, Clap Ivoire en septembre 2018 par deux films, en Côte d’Ivoire. Il s’agit du film fiction de “La vie de Daniel” de Gilbert Bararmna et du film documentaire “l’Or dure” de Anita Afatchao. Les deux œuvres ont été sélectionnées, sur 19, à la suite d’une compétition nationale, dont les résultats ont été dévoilés le mercredi 04 juillet à Lomé.

“La vie de Daniel” parle de l’autisme. Pour Gilbert Bararmna, représenter le Togo à Abidjan, n’est que le fruit du travail abattu. Il a saisit l’occasion pour remercier tous ses collaborateurs notamment les acteurs et le staff technique.

Le documentaire environnemental “l’Or dure” traite du recyclage des ordures ménagères. Pour la réalisatrice, ce prix n’est que le premier de sa gibecière. Elle compte revenir de Côte d’Ivoire avec le trophée Clap Ivoire avant d’aller à la conquête d’autres festivals.

Rappelons que du 02 au 07 juillet, il est organisé une semaine pour la promotion du cinéma togolais. La semaine est marquée par une résidence de réécriture de 5 projets de longs-métrages aux fins d’adaptation cinématographique.« Le scénario ou l’écriture du projet de film est le soubassement de toute production de film. Lorsque le scénario n’est pas de qualité, vous n’aurez jamais de producteur », a déclaré le directeur national de la cinématographie, Denis Essohanam Koutom, soulignant l’importance de cette résidence de réécriture.
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