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Succession de Faure Gnassingbé à la tête de la CEDEAO Addo plutôt que Buhari ?

Publié le mardi 17 juillet 2018  |  Le Télégramme du Togo
La
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
La facilitation de la CEDEAO appelle les Togolais à privilégier le dialogue et les élections pour solder leurs différends
Lomé, le 27 juin 2018. Coupole de l`Hôtel 02 Février. Sous la direction du duo de facilitateurs Alpha Condé et Nana Akufo-Addo et de Jean-Claude Brou (Président de la Commission de la CEDEAO), une nouvelle session de discussions dans le cadre du 27è dialogue intertogolais a eu lieu dans la capitale togolaise. Nana Akufo-Addo.
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Alors que l’opposition togolaise ne jurait que par l’arrivée de Buhari à la tête de la CEDEAO pour en finir très rapidement avec le régime de Lomé dans cette crise qui secoue le Togo depuis bientôt un an, elle devra reporter ses attentes. C’est du moins ce que semble recommander les dernières informations sur celui qui prendra la succession de Faure Gnassingbé à la présidence de l’instance sous-régionale.
Selon certaines sources qui semblent être bien informées et qui, malgré le fait que le président Ghanéen, Nana Akufo-Addo ne se soit pas encore officiellement décidé, c’est bien le facilitateur dans la crise togolaise, qui devra prendre les commandes de la CEDEAO au terme du Sommet qui se tient à Lomé le 31 Juillet prochain.
Et comme pour justifier un tel choix que ses pairs pourront avaliser, l’on avance entre autres raisons, le règlement intérieur de la conférence des chefs d’État et de gouvernement de la CEDEAO qui stipule qu’en aucun cas, un président ne peut prétendre à diriger l’instance si au cours de son mandat, des élections présidentielles sont prévues dans son pays. Ce qui devrait être finalement le cas du président nigérian, Muhammudu Buhari, dont le pays organise des élections présidentielles en Février 2019, pourtant précédemment pressenti pour prendre les rênes.
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