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Art et Culture

Style : le Faso dan fani, un tissu identitaire

Publié le jeudi 23 aout 2018  |  Jeune Afrique
Ouverture
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
Ouverture du 1er Sommet conjoint CEDEAO-CEEAC sur les défis sécuritaires communs
Lomé, le 30 juillet 2018. Grande tente de l`«Address Hôtel 02 Février». L`ouverture du 1er Sommet conjoint CEDEAO-CEEAC sur les défis sécuritaires communs a été meublée par de vibrants plaidoyers des Présidents Faure Gnassingbé et Ali Bongo Ondimba appelant à la mutualisation des moyens financiers, techniques et des ressources humaines. Roch Marc Kabore (g) et M. Buhari
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Symbole du patriotisme burkinabè prôné par Thomas Sankara, le Faso dan fani compte parmi les étoffes les plus appréciées des créateurs africains.

«Le Faso dan fani est la meilleure étoffe tissée à la main de toute l’Afrique de l’Ouest. » L’affirmation n’est peut-être pas tout à fait objective, puisqu’elle émane de Pathé’O, un créateur né à quelques dizaines de kilomètres de Ouagadougou…

Mais ce vétéran de la mode africaine, fort d’une carrière de près de quarante ans, est bien loin d’être le seul à proclamer la supériorité du tissu made in Burkina. Teint de façon artisanale, vendu entre 7 500 et 25 000 F CFA le pagne (entre 11 et 38 euros) suivant sa qualité, il ne s’est jamais vraiment démodé depuis que Thomas Sankara en a fait un symbole du savoir-faire local et de la fierté nationale, au milieu des années 1980.
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