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"Pas de réformes, pas d’élection", nouveau leitmotiv du Mouvement En Aucun Cas

Publié le vendredi 7 septembre 2018  |  Telegramme 228
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© AFP par ISSOUF SANOGO
Début du vote pour la présidentielle au Togo
Le vote pour l’élection présidentielle au Togo a débuté samedi matin avec la participation de trois millions et demi de Togolais appelés à désigner leur futur président parmi cinq candidats dont le chef de l’Etat sortant, Faure Gnassingbé, qui brigue un troisième mandat.
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Cette fois sera-t-elle la bonne ? C’est la grande interrogation. Mais, une source impliquée dans les démarches préalables rassure : "Nous avons pris langue avec le ministre. Actuellement c’est l’itinéraire qui pose problème. Mais on trouvera bientôt un consensus".

Une assurance qui, si elle se confirmait, devrait ouvrir la voie à une grande manifestation du Mouvement de Foly Satchivi et ses partenaires, tels Action Sud SP-BT, REJADD, LTDE, Mouvement Patriotes Togolais, le Mouvement des Artistes Engagés dans quatre villes du Togo à savoir, Lomé, Amégnran, Afangnan et Kara le Samedi 08 Septembre 2018. Outre la nouvelle revendication "Pas de réformes, pas d’élection", En Aucun Cas et ses pairs entendent réclamer "la libération des membres des organisations de la société civile, dont leur premier porte-parole, Foly SATCHIVI".


Justement sur le cas de ce dernier, mais aussi de la manifestation finalement avortée du 1er Septembre dernier, selon les responsables de ces mouvements et organisations de société civile qui étaient face à la presse ce jour, "suite au refus de la demande de mise en liberté provisoire introduite par l’avocat de Foly SATCHIVI, Me KPANDE-ADZARE que nous saluons au passage, le mouvement EN AUCUN CAS et ses partenaires ont décidé de maintenir la manifestation prévue sur le samedi 01 septembre 2018. Contre toute attente, les lieux de manifestations furent envahis, déjà la veille par les militaires, les gendarmes et les policiers dans l’optique d’empêcher cette manifestation qui se voulait pacifique.

Le jour J, les membres du Mouvement furent menacés et intimider au téléphone par des colonels et commandants. Certains étaient obligés de séjourner très loin de leurs domiciles. N’eut été l’attitude responsable des membres du Mouvement EN AUCUN CAS et des organisations partenaires, l’ont seraient allé à des affrontements inutiles. Face à la délicatesse de la situation, le comité exécutif du Mouvement a saisi les présidents ghanéens et guinéens, facilitateurs de la crise, le président Nigérian BUHARI, président de la CEDEAO, la commission de la CEDEAO, l’ONU, les ambassades et représentations diplomatiques, les Organisations de défense des droits de l’homme et les mouvements partenaires"".
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