Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

« La CEDEAO a une responsabilité de réparation envers le peuple togolais », rappelle le député Jean Kissi

Publié le lundi 17 septembre 2018  |  Togotopinfos
Débat
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Débat public en pleine crise sur les réformes politiques et institutionnelles au Togo
Lomé, le 06 octobre 2017. Hôtel SARAKAWA. Débat public organisé par WANEP-Togo en collaboration avec le PNUD autour du thème "Réformes politiques au Togo: quelles solutions pour une sortie de crise"? Ce débat a vu la participation de plusieurs hommes politiques togolais de divers bords. Jean Kissi du parti CAR.
Comment


Le passage à Lomé les 10 et 11 septembre derniers des émissaires de la CEDEAO dans le cadre de la 1ère réunion du Comité de suivi pour la mise en œuvre des recommandations de l’institution pour une sortie de crise au Togo continue de faire débat. Du côté de la Coalition des 14, les attentes ne sont point comblées à l’issue des deux jours de travaux avec les protagonistes de la crise.

« À l’issue de la rencontre, nous étions dépités, c’est-à-dire que c’était comme de la pagaille et une cacophonie organisée, et on s’est demandé comment une institution sous-régionale aussi élevée et organisée peut nous faire aller et revenir de la sorte. Nous avons eu l’impression qu’ils n’étaient pas préparés avant d’arriver, mais comme l’opinion voulait qu’il fallait que la CEDEAO vienne, ils sont venus sans être prêts pour nous apporter des solutions concrètes. La CEDEAO a une responsabilité majeure dans la question togolaise. Elle a une responsabilité de réparation envers le peuple togolais », a expliqué le Secrétaire général du Comité d’Action pour le Renouveau (parti membre de la Coalition des 14).

Lors des travaux de la première réunion du Comité de suivi, il semble qu’un problème de compréhension s’était posé entre les participants et que la rencontre s’est résumée à un dialogue de sourds. « Nous voulons la mise en œuvre de la feuille de route avec un chronogramme précis. Pas un chronogramme des élections, mais celui de l’application des recommandations », a regretté Jean Kissi.
... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires