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Suite à l’agression de son Coordonnateur de la Kozah: La C14 alerte la CEDEAO sur un bain de sang en préparation par le pouvoir en place

Publié le jeudi 18 octobre 2018  |  Le Télégramme du Togo
1ère
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
1ère Conférence de presse de la Coalition après le Communiqué issu de la séance de facilitation du 27 juin 2018
Lomé, le 28 juin 2018. Siège de la CDPA à Akassimé. 1ère Conférence de presse de la Coalition après le Communiqué issu de la séance de facilitation du 27 juin 2018. «M. Bawara, vous ne pouvez pas organiser des élections avant fin novembre 2018», dixit Brigitte ADJAMAGBO, coordinatrice de la Coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise, à l`endroit du Gouvernement togolais.
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L’agression du Coordonnateur de la Coalition des 14 dans la préfecture de la Kozah, Passou Essowè, par des individus appartenant au groupe dit d’« auto-défense », qui l’ont battu et laissé pour mort le Lundi 15 Octobre dernier dans la ville de Kara, n’est pas passée sous silence par la Coordination nationale de ce regroupement des partis politiques de l’opposition.

Dans un communiqué en date d’hier Mercredi 17 Octobre, et signé de la Coordinatrice de la C14, Mme Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, le regroupement dénonce l’agression et réclame de la CEDEAO qui joue la médiation au sein de cette crise togolaise à « prendre la juste mesure de la situation » et à « amener le gouvernement togolais à veiller au respect scrupuleux des droits de l’Homme, à la libre circulation de tous les Togolais et au libre exercice des activités politiques sur toute l’étendue du territoire national ».

Adjamagbo-Johnson et ses collègues disent prendre «à témoin la communauté internationale de la réalité des menaces qui pèsent sur le Togo et lui demande d’aider le gouvernement togolais à prendre conscience de la gravité de la situation et à juguler de manière juste et durable la crise qui mine le pays depuis des décennies, au lieu de recourir à une stratégie de la terreur qui risque de déboucher, une fois encore, sur un bain de sang».
... suite de l'article sur Le Télégramme du Togo

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