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Togo/ Nouvel échec de l’adoption du projet de loi sur les reformes à l’Assemblée Nationale ce mercredi : Les travaux n’ont pas abouti

Publié le vendredi 30 novembre 2018  |  Togotopinfos
Ouverture
© aLome.com par Edem GADEGBEKU & J. TCHAKOU
Ouverture de la 2e Session ordinaire de l’année de l’Assemblée Nationale togolaise
Lomé, le 02 octobre 2018. Siège du Parlement. Ouverture de la 2è Session ordinaire de l’année de ’Assemblée Nationale togolaise. Dama DRAMANI, président de l’Assemblée Nationale togolaise a présidé ce 1er mardi du mois d’octobre la cérémonie d’ouverture de la 2ème session ordinaire de l’année 2018 du Parlement. Ont pris part à cette ouverture le Premier Ministre Selom KLASSOU, des membres de son Gouvernement, des ambassadeurs et plusieurs de présidents des institutions de la République. Cette session généralement consacrée à l’étude de la loi de finances sera aussi marquée cette année par l`élection de nouveaux membres de la CENI, suite au consensus politique intervenu lors des travaux du Comité de suivi de la CEDEAO, et aussi par l’étude éventuelle d`un projet de loi portant réformes constitutionnelles.
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Nouveau coup de théâtre à l’assemblée nationale togolaise ce jeudi. Réunie pour une deuxième fois en vue de l’examen du projet de loi de révision de la constitution, la commission des lois constitutionnelles de l’Assemblée nationale n’a pas pu arriver au terme des travaux. Le texte à adopter a été encore contesté et, une fois de plus, les députés de l’opposition ont quitté la salle.

Selon les informations reçues, cette fois, c’est la tentative du « métissage » des deux projets de loi de révision de la constitution (celui de l’expert de la CEDEAO et celui du gouvernement togolais) qui a été à l’origine du contentieux.

« Cette fois-ci, on nous ramène le texte de la CEDEAO et celui du gouvernement. Le commissaire du gouvernement prend une phrase dans le premier texte et une autre dans le second, ce qui fait qu’on se retrouve devant quelque chose qui n’a ni tête, ni queue. Nous ne pouvons pas nous rendre complices de cette forfaiture », s’est indignée Me Isabelle Améganvi, présidente du groupe parlementaire ANC.

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