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Mort des mineurs par balles au Togo : la situation préoccupe Amnesty International

Publié le mardi 11 decembre 2018  |  Togo Top News
La
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
La famille Zoumekey révèle le contenu de l’autopsie du corps de «Jojo» qui a trouvé la mort en octobre 2017 à Lomé
Lomé, le 25 septembre 2018. Siège d`Amnesty International. La famille Zoumekey révèle le contenu de l’autopsie du corps du petit «Jojo» qui a trouvé la mort pendant les troubles politiques d’octobre 2017. En conférence de presse, la famille Zoumekey a révélé les causes de la mort de leur fils Joseph dit «Jojo» en octobre 2017, dans Bè, quartier réputé proche de l’opposition en période de troubles politiques. Selon le contenu de cette autopsie demandée par la famille, «Jojo» est mort d’une mort violente par arme à feu. Au vu de ce résultat, les parents de la victime s’en remettent à la justice pour faire la lumière sur les circonstances de cette mort et situer les responsabilités.
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L’Ong Amnesty International est très préoccupée par la situation sécuritaire au Togo et plus particulièrement celle qui fait perdre la vie à des mineurs. François Patuel, chercheur sur l’Afrique de l’Ouest à Amnesty International, a réagi sur le sujet ce lundi 10 décembre 2018 chez nos confrères de Radio France Internationale (RFI).

Selon le communiqué rendu public par le gouvernement togolais en fin de journée du samedi dernier, il est signalé la mort de deux individus dont un mineur au cours de la manifestation des militants de la coalition des 14 partis politiques de l’opposition.

Au niveau de Amnesty International, on trouve la situation captivante. « C’est quelque chose qui est extrêmement préoccupante. C’est souvent aussi malheureusement des mineurs. Maintenant c’est une liste qui s’allonge et c’est une responsabilité de plus envers les autorités qui doivent s’assurer qu’il y a vérité et justice », a dit François Patuel chercheur sur l’Afrique de l’Ouest à Amnesty International, à nos confrères de RFI.

Ainsi, l’Ong demande à ce qu’une enquête indépendante et impartiale soit ouverte et que les responsables soient présentés devant la justice dans le cadre d’un procès.

Rappelons qu’en octobre 2017, au cours des affrontements entre forces de l’ordre et manifestants, un enfant de 11 ans a été tué par balle à Lomé (quartier Bè-Kpota).
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