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Portefeuille de l’Enseignement dans le gouvernement Klassou II/ Les enseignants réclament un interlocuteur officiel et craignent pour un retour des crises

Publié le jeudi 7 fevrier 2019  |  Le Télégramme du Togo
Cérémonie
© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
Cérémonie de réception et d’adoption du Statut particulier des enseignants du Togo par le Premier Ministre Komi Selom KLASSOU
Lomé, le 29 septembre 2017. Primature. Cérémonie de réception et d’adoption du Statut particulier des enseignants du Togo par le Premier Ministre Komi Selom KLASSOU. Cette mesure est censée apaiser les enseignants en prélude à l`année académique 2017-2018. A. ATCHA de la CSET.
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Le ministère de l’Enseignement Primaire et Secondaire est rattaché à la Primature, c’est la version officielle à la suite de la publication du nouveau gouvernement de Komi Klassou. Une version qui n’est pas de nature à susciter la sérénité au sein du corps des enseignants du Togo Et pour cause, deux organisations de syndicats des enseignants sont montées au créneau pour réclamer un interlocuteur réel si tant est que les gouvernants ne jugent plus le ministre sortant Komi Tchakpélé à même de conduire ce portefeuille, alors même que plusieurs points de l’accord intervenu pour ramener l’accalmie au sein du monde de l’Education au Togo n’ont pas encore trouver solution.
Entre autres syndicats, c’est la Coordination des syndicats de l’éducation du Togo (CSET), qui émet des doutes sur ce rattachement annoncé du ministère de tutelle à la Primature vu qu’aucun décret ne l’indique.
Dans un ton à la limite menaçant, c’est Yaovi Atsou-Atcha, Coordonnateur de la CSET qui indique « si la situation est clarifiée et que cette mesure est prise pour rattacher notre département à la Primature, pour que le Premier ministre puisse trouver des solutions à tous les problèmes des enseignants, nous disons que c’est une bonne chose. Si cette mesure est prise pour faire trainer les revendications ou la réalisation du protocole d’accord, au-devant les crises peuvent renaître ».
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