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Les start-up africaines ont levé $1,16 milliard en 2018

Publié le vendredi 29 mars 2019  |  Commod Africa
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Le continent confirme son attractivité avec des levées de fonds en faveur des start-up africaines de $1,163 milliard en 2018,[1]en hausse de 108% par rapport à 2017 ($560 millions), selon le rapport annuel de Partech sur le financement des startups africaines. Ces financements ont bénéficié à 146 start-up, contre 128 en 2017. «C’est tout simplement étonnant. Lorsque nous avons commencé notre projet de création de Partech Africa Fund en 2015, nous nous attendions à dépasser le milliard de dollars d'ici 2020. Nous avons déjà deux ans d'avance sur nos prévisions », a déclaré Cyril Collon, un des associés de Partech.


L’Afrique du Sud, le Kenya et le Nigeria toujours dans le trio de tête


L’Afrique du Sud, le Kenya et le Nigeria sont toujours les trois pays qui attirent le plus de levées de fonds sur le continent avec respectivement $250 millions, $348 millions et $306 millions. Suivent ensuite la Tanzanie ($75 millions), l’Egypte ($67 millions), le Malawi ($28 millions). Le premier pays d’Afrique de l’Ouest est le Sénégal avec $22 millions pour quatre transactions, puis se situent le Ghana ($6 millions), le Mali ($3 millions) et la Côte d’Ivoire ($1 million). Les trois premiers pays totalisent 78% du financement total.


L’inclusion financière privilégiée

Les Fintech demeurent le principal secteur d’investissement en captant 50% du financement total. Toutefois, les fondateurs de Partech, Cyril Collon et Tidjane Dème, soulignent la montée en puissance du B2B & Tech adoption, deuxième secteur de concentration (30,4% des fonds contre 13% en 2017) au détriment des services aux consommateurs (19,7% des fonds contre 42% en 2017). «Les modèles B2B sont naturellement attrayants pour les entrepreneurs. À une époque où la monétisation est au cœur des défis, les entreprises clientes peuvent payer et permettre de présenter les données économiques des unités qui peuvent converger plus rapidement que les modèles B2C. Bien sûr, cela rassure les investisseurs », explique Tidjane Dème.
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