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Le ministre Yark Damahane explique la sortie des chefs traditionnels et met en garde le PNP contre des dérapages

Publié le vendredi 12 avril 2019  |  AfreePress
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© aLome.com par Edem Gadegbeku et Dodo Abalo
Une 2e inauguration lance officiellement les activités du poste-frontière juxtaposé de Noépé-Akanu
26 octobre 2018. Noépé-Akanu. Une 2e inauguration lance officiellement les activités du poste-frontière juxtaposé de Noépé-Akanu, en présence de Nana Akufo-Addo, Faure Gnassingbé et du Président de la Commission de la CEDEAO, Jean-Claude K. Brou. Les travaux de cette infrastructure couvrent 17 hectares. Ils ont été financés par l’Union européenne (UE) pour 7 milliards de Fcfa. Ce poste-frontière juxtaposé de Noépé-Akanu est composé d’un parking pour poids lourds, d’un bureau des douanes, d’un autre pour les services d’immigration et de logements pour les fonctionnaires. Gal Damehame Yark.
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A 24 heures de la manifestation de rue projetée par le Parti National Panafricain (PNP), le ministre de la Sécurité et de la Protection Civile, Gal Yark Damehane s'invite dans le débat et explique les raisons qui ont conduit le gouvernement à limiter la manifestation du PNP dans trois villes.

Reçut vendredi 12 avril 2019, sur radio Victoire FM, le ministre en charge de la Sécurité parle de "raisons sécuritaires", du "nombre limité des forces de l’ordre et de sécurité dans les villes pour encadrer les manifestants" pour soutenir la circonscription de la manifestation du PNP dans trois villes du pays.

« La police n’est pas là seulement pour des marches. Aujourd’hui notre souci, c’est comment protéger nos compatriotes et comment sécuriser leurs biens. Donc il y a des missions transitionnelles de la police et de la gendarmerie. La première mission c’est d’encadrer les marches. Donc si le PNP a voulu marcher dans 10 villes, raisonnablement je ne sais pourquoi marcher dans 10 villes. L’autorité ne peut agir qu’en fonction du personnel disponible. Avec trois villes, on peut tranquillement les encadrer d’une façon professionnelle. Je crois que le PNP doit accepter ces trois villes et les itinéraires recommandés pour faire sa marche. Nous devons tous travailler pour la sécurité, la démocratie dans notre pays. Si déjà à l’issue d’une marche, ils cassent tous ce qu’ils trouvent, la violence appelle toujours la violence. La décision des chefs traditionnels, c’est parce que les manifestants avaient posé des actes répréhensibles à Kpalimé. C’est vrai que ce n’est de leur compétence d’interdire les manifestations, mais c’est pour refuser la violence. Donc l’autorité met à terre tout le monde (sic)», a laissé entendre le Ministre Yark Damehane.
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