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La BAD et les BRICS s’allient pour de nouveaux projets en Afrique

Publié le mercredi 30 octobre 2019  |  MAP
CIEA
© aLome.com par Marc-Innocent
CIEA 2017: la deuxième édition de la conférence ouverte par le Président Ouattara
Abidjan le 28 Mars 2017. La 2éme édition de la Conférence Internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA) s’est ouverte à Abidjan en présence de plusieurs personnalités parmi lesquelles les Chefs d’Etat du Libéria, Ellen Johnson Sirleaf, Sénégal, Macky Sall, de la Guinée Alpha Condé, de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, Helen Clark, Administrateur du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et Akinwumi Adesina (photo), président de la Banque Africaine de Développement (BAD).
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La Banque Africaine de Développement (BAD) et la New Development Bank (NDB), la banque de développement des pays du BRICS (Brésil, Russie, Inde, la Chine et l’Afrique du Sud), ont signé récemment un protocole d’accord visant à identifier, préparer, cofinancer et promouvoir de nouveaux projets à fort potentiel afin d’impacter la vie de millions d’africains dans des pays d’intérêt commun.

«Grâce à cette coopération, nous réaliserons nos objectifs communs de promotion du développement économique et social, et nous réaliserons des projets de développement durable et d’infrastructure qui changeront la vie de millions de personnes sur le continent africain», a déclaré le président de la BAD, Akinwumi Adesina, cité par des médias ivoiriens.

Ce partenariat »gagnant-gagnant » entre les deux institutions de développement ciblera les projets notamment dans les domaines de l’énergie propre, des infrastructures de transport et de la gestion des ressources en eau et l’assainissement ainsi que dans celui du développement durable, selon la même source.

La NDB a été créée en 2014 par les pays du BRICS (Brésil, Russie, Inde, la Chine et l’Afrique du Sud) en vue de servir d’alternative à la Banque mondiale et est actuellement dirigée par l’Indien Kundapur Vaman Kamath. Elle a pour objectif de mobiliser des ressources pour des projets d’infrastructure et de développement durable pour ses Etats membres et les pays en développement en général. En 2018, l’institution revendiquait un portefeuille d’investissement de 8 milliards $.

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