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Torture et migration : le CACIT et l’OMCT sonnent la riposte

Publié le jeudi 19 decembre 2019  |  Linformateur
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© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
Lancement par le CACIT du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique
Lomé, le 18 septembre 2018. Agora Senghor, Salle Laurier. Conférence de presse du Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT). Une conférence de presse marquée par le lancement du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique togolaise (août 2017- août 2018). 19 morts, 560 personnes arrêtées (dont 53 encore en détention) et au moins 350 civils blessés sont les principaux chiffres issus des violences d`août 2017 à août 2018 selon le CACIT.
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Le Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT) et l’Organisation Mondiale contre la Torture (OMCT) ont tenu à Lomé un atelier régional de deux jours les 16 et 17 décembre 2019. Cet atelier de réflexion, qui est une première rencontre du groupe de travail sur la migration et la torture en Afrique, a pris fin mardi 17 décembre avec un bilan positif et des résolutions.

Devant la presse, les organisateurs ont fait le point de ces deux jours de travaux. Il a été essentiellement questions de la migration et de la torture, les voies et moyens à adopter afin de venir à bout du phénomène, aussi bien en Afrique qu’à l’international.

A l’issue des travaux, l’OMCT adresse un message sur ces deux termes abordés et qui sont aujourd’hui indissociables. Pour Gerald Staberock, secrétaire général de l’OMCT, «tout le monde a besoin de la protection, surtout contre la torture. Car elle est l’une des violences les plus graves qui détruisent des vies et des sociétés».

Les travaux ont débouché sur la mise en place d’un groupe de travail constitué de personnes travaillant sur des situations de torture ainsi que la migration.

«Ce groupe de travail aura pour mission de récolter des informations plus approfondies sur la torture et la migration enfin d’engager des discussions avec les autorités Africaines et internationales», a fait savoir Gerald Staberock.


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