Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Togo : les jeunes de la CDPA en visite à la prison civile de Lomé, disent un mot à l’opposition

Publié le lundi 30 decembre 2019  |  Global Actu
6ème
© aLome.com par Parfait
6ème Congrès ordinaire de la CDPA, nouvel élan pour un nouveau départ politique
Lomé, les 5 et 6 septembre 2015. Siège du Synphot. La CDPA donne quitus à Brigitte ADJAMAGBO-JOHNSON pour gérer son Secrétariat général, après sa gestion intérimaire.
Comment



Les 19 personnes arrêtées lors des manifestations politiques et encore détenues à la prison civile de Lomé ont reçu lundi la visite des jeunes de la Convention démocratique des peuples africains (CDPA). Nestor Kodjovi Egui, le coordonnateur général du Conseil national des jeunes de la CDPA et ses camarades sont allés prêter main forte à ces détenus.

Ces jeunes militants du parti politique dirigé par Brigitte Adjamagbo Johnson sont soutenus cette fois-ci par les militants de la CDPA, membres de la fédération de France.

«Cette visite se situe dans la continuité de l’action qu’on avait entamée en octobre 2019. Nous sommes venus voir, après notre premier passage, comment se portent ceux qui ne sont toujours pas libérés et leur apporter notre soutien moral, surtout que nous sommes en cette fin d’année. Ils se portent bien et ont le moral. Ceux qui étaient souffrants seraient sous traitement et se porteraient mieux», a déclaré M. Egui.

Le travail continue pour obtenir la libération des uns et des autres, a-t-il lancé. Pour Koffi Enakoutsa, militant de la CDPA (France), il s’agit, par cette action, de venir apporter le réconfort à ces 19 personnes. Il a profité de l’occasion pour demander aux autorités togolaises, avec à leur tête le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé, d’accorder à ces Togolais leur libération.

«Ici, ce n’est pas leur maison. Ils y sont pour des raisons que nous ne comprenons pas. Même s’ils ont fait quelque chose au cours des manifestations politiques, nous trouvons qu’ils doivent bénéficier d’une amnistie générale accordée par qui de droit », a-t-il appuyé.

Les jeunes de ce parti politique de l’opposition n’ont pas manqué l’occasion pour se prononcer encore une fois sur l’actualité politique du pays, avec en toile de fond, une élection présidentielle dont le premier tour est prévu pour le 22 février prochain.

... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires