Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article
Société

Affaire de 500 milliards détournés dans le secteur pétrolier : Gerry Taama recadre Sena Alipui

Publié le mercredi 1 juillet 2020  |  AfreePress
Conférence
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
Conférence de presse du parti NET sur le prochain type de régime politique au Togo
Lomé, le 22 février 2018. Hôtel «Hez’Ai», dans la banlieue nord de la capitale togolaise. Conférence de presse du parti NET. Gerry TAAMA, un des candidats malheureux à la présidentielle de 2015 au Togo et président du parti Nouvel Engagement Togolais (NET) propose pour le Togo un régime présidentiel avec un Président tout-puissant et des postes de vice-président. L’information est contenue dans une déclaration rendue publique. N’étant pas partie-prenante aux actuelles assises intertogolaises, le président du NET souhaitait faire connaître sa position sur les points débattus à l’Hôtel 02 février par le parti au pouvoir UNIR et la Coalition des 14 partis de l’opposition.
Comment


L’affaire de détournement de 500 milliards dans la commande des produits pétroliers continue de faire grand bruit au Togo.

D’après la révélation du journal d’investigation ‘’l’Alternative”, les « Adjakly » père et fils ont détourné des centaines de milliards de francs CFA dans la commande des produits pétroliers et ce, depuis plusieurs années.

Une révélation qui selon le député Gerry Taama ne doit pas être banalisée au regard de l’ampleur du dossier.

Plutôt, l’élu du peuple estime que l’alerte lancée par ‘’l’Alternative” est « un remarquable travail d’investigation qui mérite que l’on se penche sur l’ampleur de la somme en cause, 500 milliards de francs CFA soit l’équivalent de 30.000 classes équipées de tables-bancs ».

Le député a fait savoir qu’il a déjà « interpellé le ministre du Commerce pour qu’il explique en détail comment se gère la commande et la distribution du carburant dans notre pays ».

« En attendant qu’il vienne répondre, il y a également la possibilité d’une commission d’enquête parlementaire. Mais il faut être au moins 15 députés pour lancer une commission d’enquête parlementaire, autrement dit, ce serait une arlésienne au regard de la configuration parlementaire très défavorable aux députés de l’opposition », a-t-il précisé.
... suite de l'article sur AfreePress

Commentaires