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Ghana: la décision de rémunérer les première et deuxième dames du pays fait polémique

Publié le lundi 12 juillet 2021  |  RFI
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© aLome.com par Edem Gadegbeku et Dodo Abalo
Une 2e inauguration lance officiellement les activités du poste-frontière juxtaposé de Noépé-Akanu
26 octobre 2018. Noépé-Akanu. Une 2e inauguration lance officiellement les activités du poste-frontière juxtaposé de Noépé-Akanu, en présence de Nana Akufo-Addo, Faure Gnassingbé et du Président de la Commission de la CEDEAO, Jean-Claude K. Brou. Les travaux de cette infrastructure couvrent 17 hectares. Ils ont été financés par l’Union européenne (UE) pour 7 milliards de Fcfa. Ce poste-frontière juxtaposé de Noépé-Akanu est composé d’un parking pour poids lourds, d’un bureau des douanes, d’un autre pour les services d’immigration et de logements pour les fonctionnaires.
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La femme d'un président doit elle recevoir un salaire ? C'est la question qui agite le Ghana en ce moment. Le Parlement a récemment voté un amendement permettant aux épouses du président Akufo-Addo et de son vice-président de percevoir des émoluments. Mais alors que le pays est en pleine crise économique, et que des manifestations ont éclaté la semaine dernière, cette mesure passe mal auprès de la population.


En temps normal, c'est une mesure qui serait peut-être passée inaperçue. Le président et son vice-président, ont décidé d'octroyer des émoluments à leurs femmes respectives près de 40 000 euros sur quatre ans, en leur qualité de première et deuxième dame du pays.

Seulement voilà, ces derniers temps, face à l'augmentation de la dette publique et aux conséquences de la crise du Covid-19, le gouvernement ghanéen a imposé de nouveaux impôts qui, conjugués à la hausse des prix du carburant, ont provoqué la colère de la population. Plusieurs manifestations ont alors éclaté en début de semaine, durant lesquelles on pouvait entendre des slogans comme « les Ghanéens sont en train de mourir, Akufo-Addo réveille-toi ! ».
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