Le Syndicat des enseignants du Togo (SET) est à l’origine d’un mouvement de grève partiellement suivi ces trois dernières semaines pour demander, entre autres, une prime de logement, l’embauche des enseignants contractuels et plus de considération. Une mobilisation sans base légale, selon les autorités.
Selon des membres de l’équipe dirigeante du SET, les trois syndicalistes sont actuellement dans les locaux du Service central de recherches et d’investigations criminelles de la gendarmerie togolaise (SCRIC). « Nos camarades ont été appréhendés, vendredi soir, chez l’éditeur de nos cartes de membres », explique Mawouegna Kokou, secrétaire général du syndicat enseignant.
D’après lui, les demandes de nouvelles adhésions étant importantes, le SET avait recruté un informaticien et c’est ce dernier qui serait mis en cause. ... suite de l'article sur RFI