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Mettons fin aux jeux des collaborateurs à la dictature Eyadémaïste au Togo
Publié le lundi 9 septembre 2013  |  Togocity


© Autre presse
Jacob ATA-AYI, membre influent de la diaspora togolaise


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Le 25 Juillet 2013 a sonné une cloche retentissante de déception qui a brisée légèrement les branches au souffle de la brise sur le grand Lomé, où s’élève le monument de la destinée « ABLODE », de la résistance de nos Aïeux, fierté de la nouvelle génération qui nous est commun à tous. Comme au lendemain d’un deuil, le visage du peuple togolais déformé par des pleurs silencieux, manifeste une douleur diffuse, une gêne, par cette cloche qui nous a annoncé ce hold-up électoral de trop, d’une arrogance déconcertante du rpt-unir illustré dans l’imaginaire des togolais par un monstre préhistorique, un dinosaure.
Le peuple togolais semble oublier avoir engendré ce monstre rpt-unir dans le kloto qui joue bien son rôle, pour montrer au monde entier comment une culture peut construire un mouvement, qui manie les désirs de domination, de possession par l’arbitraire dans un environnement de tensions, de conflits dans un climat général d’avidité, sale, dévasté par les inégalités, le déshonneur orchestré par un groupe de citoyens qui repousse négativement les limites de développement de toute une vie, de plusieurs générations par un mélange subtil de croyance, et d’imagination sans cesse devant nos yeux pour modifier l’élan progressiste du destin d’un peuple par des compromissions, des intérêts et des dogmes de certains leaders censés les représenter.
Autour de cette bâtisse symbole de l’indépendance, respect pour nos aïeux, mettons fin aux jeux enfantins de nos stratégies de reconquête de pouvoir, à cette rivalité absurde entre l’ARC et le CST qui prolonge la misère du peuple, la destruction de notre pays depuis 50 ans, hier entre Yaovi Agboyigbo Edem Kodjo, Zarifou Ayeva, Léopold Ninive et Gilchrist Olympio et Aujourd’hui entre Dodzi Apevon et Jean Pierre Fabre.
Construisons, ensemble une plate forme de nos intérêts sans nous entre-tuer par le dogmatisme, la certitude d’avoir raison dans la légèreté et des petits pas de l’ARC, et l’obsession de la vérité absolue, d’une politique idoine, de l’idéologie juste de CST.
Trouvons la dose dans le travail commun des deux collectifs pour la construction du bonheur du peuple togolais par ce mélange de froideur et d’objectivité qu’on reproche aux scientifiques dans les négociations et la fièvre de l’émotion pour engendrer des passions nécessaires pour la conquête du pouvoir.
Ne rions pas, plusieurs togolais ont la certitude de cet hybride monstre homme que représente la femme ou l’homme de rpt-unir et peuvent fournir des détails sur leur façon de mentir ou de ne pas reconnaître la vérité, sur cette joie immense qui les vivifient comme des vampires quand ils torturent, sucent le sang des togolais, depuis bientôt 50 ans.
Parmi ces travailleurs courageux qui sont les togolais de tous les jours, les leaderships de l’opposition togolaise, pensent trouver par une alchimie de potion magique, la solution à chasser de nos terres, ces abominables créatures, et leurs suppôts de la diaspora, qui sont des produits d’une autre galaxie pour régenter les togolais, les soumettre à l’esclavage, au lieu de penser victoire et rééducation sur ces monstres que certains décrivent comme des vertébrés, des mammifères à aspect humain, marchant sur leurs pattes de derrière, et sont dotés des antennes sur leurs têtes pour savoir et reconnaître nos plans pour nous libérer.
Non notre hymne nationale nous donne les références du combat salvateur, conjuguons les mots « forts, courageux, dignité et liberté » et « de la vaillance et du travail » pour briser partout les chaînes de la traitrise et unissons nous par nos efforts sur l’immense chantier en construction par nos aïeux en apportant la félicité au lieu de la misère.
Apportons nos concours à nos leaders de l’opposition qui n’arrivent pas à construire une démarche qui réclame une unité et une cohérence dans sa représentation locale et universelle et sont en permanence en conflit sous des aspects les plus divers, entre l’éternel et le provisoire, entre l’authentique et le conjoncturel, entre le local et l’universel, entre l’accompagnement de la dictature sous de faux prétextes dans une série de polémiques opposant celles et ceux qui refusent une vision totale et globale à celles et ceux qui par des petits pas comme la danse de « zangbéton » font le surplace pour avoir le minimum vital pour leur survie. En un sens nous pouvons modeler nos comportements par nos craintes, nos désirs, nos actions, de manière particulière avec les règles propres de la politique à jouer le jeu de l’alternance.
L’important dans la politique, c’est autant l’esprit que le produit, c’est autant l’ouverture d’esprit, la primauté de la critique, la soumission à l’imprévu, le renoncement à l’idée d’une vérité ultime et intangible, l’image exacte d’une vérité qui attendait au coin de la rue de déckon d’être dévoilée aux militants de l’opposition.
Depuis le 25 Juillet 2013, le doute s’est saisi à nouveau de la population et de la diaspora, et des critiques acerbes et des reproches du peuple et des citoyens togolais tombent sur la tête des leaders de l’opposition togolaise. Ils sont accusés de jouer à la musique du narcissisme, de savoir danser égoïsme, et d’oublier le peuple souverain.
Ils sont accusés d’être sans cœur, sans conscience, sans compétences, sans organisation, sans carrure, pour ne pas découvrir à ce jour, les moyens de destruction de rpt-unir.
A certains, on leur reproche d’être des amis de ces monstres la nuit et le jour venir nous annoncer les moyens inefficaces de coercition contre le rpt-unir, pour preuves, leurs enfants s’accouplent avec ces monstres, leurs femmes sont amantes de ces dirigeants rpt-unir.
Dès fois c’est leur faire trop d’honneur, la proportion d’imbéciles et de malfaisants est une constante qu’on retrouve dans tous les échantillons d’une population.
La même proportion se retrouve au sein des leaderships de l’opposition, plus ils ouvrent leur bouche, plus ils annoncent par des mots uniquement compréhensibles par eux-mêmes par des agrégats de contacts farfelu, fantasques pour générer les perdîmes à leur besace.
Travaillons différemment, en donnant à chaque militant un objectif à atteindre, en donnant à chaque commission une mission à réussir, autrement avec toujours à la clé un second plan pour arriver à se hisser au niveau de nos ancêtres.
Evitons à l’avenir le ridicule par les fourberies quotidiennes de rpt-unir, un jeu enfantin à leurs yeux de mentir en permanence, du non respect de leurs engagements.
Les mots d’ordre de la mobilisation ne suffisent plus, le motif le plus important c’est la formation dès maintenant des commissions avec la diaspora dans la réalité et de trouver le plaisir de travailler ensemble et d’obtenir des résultats qui serviront notre peuple du nord au sud. Aujourd’hui, le peuple togolais a dépassé le malheur de la souffrance du peuple juif dans sa traversée dans le désert de sinaï, de la faillite de la morale, par rpt-unir qui a hissé en drapeau le régionalisme, le népotisme, l’arbitraire, la corruption pour montrer du doigt notre capitale, Lomé la belle en Lomé la poubelle et le Togo l’or de l’humanité a aujourd’hui un visage d’une vieille fille habillée en friperie, montrant son visage miséreux, où la maladie côtoie l’indignité.
Conclusion,
Jean Pierre Fabre, Zeus Ajavon, Leaderships de CST et de l’ARC, je voudrais vous dire que la diaspora a compris depuis des années le constat de la misère, elle attend de vous à travailler avec elle pour apporter sa pierre à la construction de cette œuvre massive.
Venez lancer les assises, les mots d’ordre, les commissions informatiques et des médias, les commissions d’organisation pour permettre aux ingénieurs, aux programmeurs, aux analystes d’apporter leur savoir faire pour la lutte. Venez solliciter les savoirs de la diaspora pour aider à l’efficacité de la lutte.
Travaillons autrement, oui pour la mobilisation, oui pour travailler différemment à concevoir un second plan à chaque étape de la lutte. Arrêtons de jouer à la politique de la poule.
Jacob ATA-AYI

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