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Agbéyomé Kodjo approuve le projet de loi sur les réformes politiques
Publié le dimanche 22 juin 2014  |  AfreePress


© Autre presse par DR
Agbéyomé Kodjo, Président National de la formation politique OBUTS.


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Togo - L’Organisation pour Bâtir dans l’Union un Togo Solidaire (OBUTS), parti membre et cofondateur du Collectif « Sauvons le Togo » (CST), de l’ancien premier ministre Agbéyomé Kodjo a annoncé par le biais d’un communiqué, être satisfaite du projet de loi envoyé par le gouvernement en vue des réformes politiques.

OBUTS se félicite spécialement du retour à l’originalité de l’article 59 de la Constitution de 1992 qui dispose que « le président de la République est élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq (5) ans renouvelable une seule fois et qu’ en aucun cas, nul ne peut exercer plus de deux (2) mandats ».

Ce projet de loi dénote, selon M. Kodjo, la volonté du chef de l’Etat, Faure Gnassingbé de décrisper la vie politique nationale. C’est le lieu d’encourager le chef de l’Etat et l’ensemble du gouvernement à poursuivre davantage leurs efforts en vue de la démocratisation de l’ensemble des institutions du pays, notamment celles impliquées dans le processus électoral, renchérit-il.

« Le nombre des dispositions constitutionnelles visé par la réforme des articles 52, 59, 62, 79, 100 et 101 de la constitution du 14 octobre 1992 révisée le 31 décembre 2002 modifie substantiellement certains équilibres en termes de réinvention du modèle démocratique togolais », lit-on dans le communiqué.

Ce n’est nullement la position affirmée par un autre ancien premier ministre, Me Yawovi Agboyibo, le premier à avoir réagi dans une interview accordée à l’Agence de presse Afreepress pour condamner ce projet de loi et à exhorter les partis politiques de l’opposition parlementaire à ne pas voter ce projet.

Pour lui, « le gouvernement après avoir tenté à maintes reprises d’enterrer les dispositions en attente d’application de l’APG, a finalement décidé d’en faire le deuil », avant d’ajouter que « la limitation du mandat présidentiel ne peut régler la question de l’alternance que si elle va de pair avec le déverrouillage du cadre électoral et institutionnel ».

Telli K.

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