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TOGO: A quoi bon de payer les impôts si les fonds ne servent qu’à entretenir les concubines de Faure Gnassingbé?
Publié le mercredi 25 juin 2014  |  togosite.com


© Autre presse par DR
Le président Faure Gnassingbé à Dapaong pour offrir du matériel agricole aux populations
Samedi 17 mai 2014. Dapaong. Le président Faure Gnassingbé offre du matériel agricole aux populations


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Ces jeunes refusent de payer les impôts parce qu’ils savent que les fonds collectés ne serviront qu’à entretenir les concubines de fraudevi, particulièrement Ingrid Awade Nana et Victoire Tomégah. Au Togo sous Faure Gnassingbé, il y a mille et une manières de détourner les deniers publics et surtout quand on est concubine de Fraudevi, on n’a également sa grâce de piller dans l’allégresse. D’autres comme Ingrid AWADE NANA pillent au service des impôts, et d’autres encore pillent en organisant une fourberie de développement à la base. Ces dernières, leurs sources de collectes de fonds sont les sociétés d’Etat au Togo.

Ingrid Awadé, ses hommes, ses méthodes et le pillage organisé de l’économie togolaise.

Après avoir démantelé le réseau de Kpatcha Gnassingbé, Ingrid Awadé s’est empressée de mettre le sien en place. Pour la circonstance, elle s’entoure d’une brochette de personnes d’horizon divers. A plusieurs reprises,« La Lettre du Continent » a mentionné dans ses révélations Kpatcha Bassayi, le directeur de l’entreprise de BTP CENTRO, Germain Meba de CIB-INTA, Docteur Michel Kodom propriétaire d’une clinique de la place et responsable de l’ONG AIMES-Afrique. Notre confrère mentionne également le commissaire divisionnaire AHARH Ahawaré, directeur de la documentation nationale et bien d’autres personnes.

Des rumeurs dans les milieux des BTP non confirmées par nos investigations font état de ce que le matériel lourd dont dispose l’entreprise CENTRO serait une propriété de celle qu’on surnomme la « dame de fer ». On comprend alors pourquoi la plupart des grands chantiers ne tombent que dans l’escarcelle de CENTRO, notamment le siège de la DGI en face de l’Ambassade des USA qui aurait coûté plus de 8 milliards de FCFA. C’est également à cette entreprise que revient souvent la construction des palais du jeune monarque disséminés, sur l’ensemble du territoire national, particulièrement à Cacaveli, Agou, Blitta, Kouméa, Défalé, Dapaong. Les plans de ces palaces sont conçus par une jeune architecte du nom de Limazié travaillant à CENTRO. Selon des indiscrétions, le palais d’Agou aurait couté plus de 2 milliards de francs CFA mais aurait été construit avec du matériel de qualité douteuse. C’est d’ailleurs à l’entreprise CENTRO qu’est revenue la construction de plusieurs villas luxueuses à la cité OUA où doivent être hébergés les chefs d’Etat attendus pour le 51è anniversaire de l’indépendance du Togo le 27 avril prochain. L’architecture intérieure, notamment la décoration et l’ameublement est revenue à une société de la même Ingrid gérée par sa petite sœur Abidé Awadé résidant au Canada.

Germain Meba, Directeur général de CIB-INTA et le Docteur Michel Kodom propriétaire de la clinique Immaculée Conception et responsable de AIMES-Afrique sont choyés dans la galaxie Ingrid. Le premier a une exclusivité sur le marché des produits informatiques et des nouvelles technologies appliquées. Quant au second, il est à la tête d’une clinique où l’ensemble du matériel, à en croire certaines sources, serait financé par la Directrice générale des impôts. Il en est de même de l’ONG AIMES-Afrique dont le matériel serait de dernière génération alors que le gouvernement peine à trouver les moyens pour doter les hôpitaux de matériels adéquats. Le Docteur Kodom n’est pas le seul à être dans les bonnes grâces d’Ingrid Awadé. Sa femme d’origine Ghanéenne se voit régulièrement confier le juteux marché de commande des pagnes qui servent à habiller les populations lors des festivités organisées par le pouvoir de Faure. Pagnes de qualité douteuse qu’elle commande au Ghana avec à la clé une facture très salée.

Dans une récente révélation, « La Lettre du Continent » a rapporté qu’Ingrid Awadé intervient également dans la sécurité de son « ami » Faure Gnassingbé. Pour la circonstance, elle s’attache les services du commissaire divisionnaire AHARH Ahawaré, directeur du service de la documentation nationale et de certains officiers israéliens actifs à la présidence appartenant au réseau du sulfureux Charles Debbasch. Ce commissaire divisionnaire responsable du club de basket Swallows dont Ingrid est membre, reste toujours, selon certaines sources, le premier responsable des RG (Renseignements généraux).

A l’égard de tous ces gens, Ingrid Awadé sait être généreuse. En guise de récompense aux multiples services rendus, elle les arrose de biens matériels, notamment de somptueuses villas par dizaine, des terrains, des voitures de luxe, des comptes bancaires garnis et même des appartements à l’extérieur. Certains de ses proches dont les épouses sont devenues des commerçantes bénéficient de passe-droits pour déverser sur le marché togolais des tonnes de marchandises sans payer les impôts et les taxes douanières. Selon des sources généralement bien informées, la Directrice générale des impôts aurait offert récemment à l’épouse d’un de ses proches une voiture de luxe de marque Lexus et une Peugeot 607 au fils de la même personne élève dans un lycée de la place. Elle sait également entretenir les hauts gradés de l’armée (chefs corps, chefs de renseignement, responsables des forces de sécurité) à qui elle envoie de temps à autre des millions de francs.

Nos investigations nous ont conduit au ministère de l’Economie et des Finances où Ingrid Awadé tient les locataires des lieux en respect, en commençant par le premier responsable Adji Ottèth Ayassor. Ce dernier qui donne l’impression d’un homme de rigueur reçoit paradoxalement ses ordres de sa subordonnée, c’est-à-dire de la Directrice des impôts qu’il appelle volontiers « Maman ». La dernière illustration est cette fameuse décision d’envoyer les agents des impôts au cordon douanier pour prélever directement la TVA, une décision suscitée sans doute par la Directrice des impôts. Au sein du ministère de l’Economie et des Finances, certains cadres sont scandalisés par l’assujettissement du ministre à la Directrice. Cette dernière n’hésite pas à distribuer à la fin de chaque semaine des billets de banque à certains agents du ministère afin que les dossiers venant des impôts soient traités avec diligence. Quant aux autres services de l’Etat qui ne mouillent pas les cadres dudit ministère, leurs dossiers traînent souvent dans les tiroirs.

Ingrid Awadé, c’est aussi la fuite organisée des capitaux vers l’extérieur. Depuis son arrestation à l’aéroport de Paris Roissy Charles de Gaulle en 2007 avec une forte somme d’argent avant d’être relâchée suite à l’intervention de la présidence togolaise, elle s’est désormais tournée vers les pays peu regardants sur l’origine des centaines de millions qui arrivent sur leur territoire. Pour ce faire, Dubaï est devenu la destination privilégiée. D’importantes sommes d’argent quittent le Togo chaque semaine en direction de ce pays ou vers d’autres destinations comme le Canada où réside la petite sœur de la Directrice des impôts. Une fuite importante de capitaux qui échappe curieusement à la fameuse ANR qui s’acharne sur de pauvres commerçants qui gagnent leur argent à la sueur de leur front. Comment peut-on oublier que c’est elle qui signe les titres fonciers ? Elle profite de sa santé financière pour collectionner les immeubles sur l’ensemble du territoire national. A Kara, on dénonce une spéculation foncière tous azimuts à laquelle elle et sa famille se livrent en achetant à tour de bras les terrains bâtis et non bâtis dans la ville.

Victoire Tomégah, ses hommes, ses méthodes et le pillage organisé de l’économie togolaise.

Aller au Togo et vous saurez, car dans ce pays le développement à la base tant crié n’a pas d’impact économique sur la base, mais plutôt ce programme a profité la famille d’une pute TOMEGAH qui a su faire usage de sa « base » féminine pour enrichir sa famille. Et pour camoufler son acte d’escroquerie et de détournement, TOMEGAH organise des mises en scène médiatisées pour endormir les « donateurs» et abuser de trop la pauvreté de la couche sociale de la base. FNFI, Apash, Alafia, Nafa. C’étaient des structures à visée électoraliste cachées sous des noms d’Ong et autres institutions de microfinance suscitées par le pouvoir en amont de la présidentielle de 2010, pour acheter les consciences des électeurs, notamment les femmes, au profit du candidat du pouvoir.

Les initiatives de cette dame sont toujours vouées à l’échec compte tenu du fait qu’il manque cruellement de l’affirmation du leadership partenarial des communautés locales, manque de soutien collectif d’une économie sociale, refus de l’intégration de la population de base à un processus d’évaluation des programmes. La mise en scène est l’art de dresser sur les planches l’action et les personnages imaginés par l’auteur dramatique tels que cette Victoire TOMEGAH. La mise en scène, réglant les moindres détails, a pour effet d’assurer le jeu de chaque acteur (Solange TOMEGAH, Pépé TOMEGAH et autres membres de la fourberie de TOMEGAH) et l’harmonie générale de l’exécution. On n’arrive à ce résultat qu’au prix de beaucoup d’habileté et d’expérience, par de nombreuses répétitions et la confiance mutuelle que donne aux acteurs l’habitude de jouer ensemble. De sa création jusqu’à ce jour, le spectacle des TOMEGAH n’obtient jamais de succès public car ce développement à la base n’est qu’une autre forme d’exploitation et de blanchiment du denier public volé. Ce développement à la base n’est qu’une autre manière d’exploitation abusive du malheur des désœuvrés par ces fourbes de TOMEGAH. Par extension, une « mise en scène » est la préparation d’événements coordonnés avant leur accomplissement effectif. C’est ce que font toujours les TOMEGAH avec la bénédiction de Faure Gnassingbé.
Peuple Observateur

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