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Le Togo classé parmi les pays à risque par le Représentant de l’ONU, Saïd Djinnit
Publié le vendredi 11 juillet 2014  |  Telegramme 228


© Autre presse par DR
Said Djinnit,représentant spécial du secrétaire général de l`ONU pour l’Afrique de l’Ouest


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Réussira-t-on à renverser la tendance avant la présidentielle de 2015 ? La question reste posée. Selon un rapport produit par le Représentant de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest, Saïd Djinnit, et portant sur les situations socio-économiques, politique et sécuritaire durant la période du 1er janvier au 30 juin 2014, le Togo est classé aux rangs des pays comme la Côte d’Ivoire, le Niger, le Nigeria, le Burkina Faso, et la Guinée, comme courant des risques dans les mois à venir.


Ceci, du fait que ces pays connaîtront des élections présidentielles dans les mois à venir. Or, il se fait que ces derniers sont connus pour des vives tensions au cours de ces périodes électorales.

Il y a en tout cas fort à craindre et le Représentant de l’ONU a vu juste dans la mesure où les situations ne sont pas du tout stable et ne promettent pas un calme électoral.


Si nous prenons le cas du Togo, jusqu’à ce que nous mettions cet article en ligne, rien n’est fait autour des réformes constitutionnelles et institutionnelles qui divisent pouvoir et opposition. Cette dernière qui a vu le projet de loi devant aider à ces réformes être rejeté par les députés du parti au pouvoir UNIR, disposant de la majorité à l’Assemblée nationale.

Et l’opposition ne s’est pas privée de se jeter sur la seule arme crédible dont elle dispose : la rue et la mobilisation des peuples. Ce qui jusqu’alors n’a pas encore payé et qui a obligé les acteurs à appeler toute la semaine les partenaires du Togo à peser de tout leur poids pour que ces réformes aient lieu avant la présidentielle devant avoir lieu, en toute vraisemblance, dans le premier semestre de l’année 2015.

C’est bien là une situation qui n’augure pas une stabilité avant même l’entrée dans la période de vive tension électorale. Bon à suivre !

G.K, Lomé

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