Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Gens
Article



 Titrologie



Le Télégramme du Togo N° 009 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Gens

TOGO: Un professeur du lycée d’Adidogomé et son complice interpellés dans leur tentative de transfèrement des crânes humains vers l’Europe
Publié le lundi 4 aout 2014  |  Le Télégramme du Togo




 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Visiblement le trafic d’organes humains fait encore parler de lui au Togo. Après
l’ancien responsable de l’ASECNA arrêté il y a plusieurs semaines pour avoir utilisé des crânes humains pour ses fétiches, c’est au tour d’un professeur de lycée et de son complice de se faire interpeler. Selon
certaines sources, vendredi dernier (1er août 2014), le détachement de la gendarmerie nationale togolaise à l’aéroport international Gnassingbé Eyadéma de Lomé a mis la main sur deux individus qui tenteraient de
convoyer vers l’Europe, plus précisément la France, trois crânes
humains.
Nos sources indiquent qu’ils ont emballé les crânes mais très
rapidement, le scanner du service des frets décèlera des ressemblances
de crânes humains dans les colis que tentaient d’envoyer vers la France
le sieur Tchalim Tchadja (45 ans), professeur au Lycée technique
d’Adidogomé, né à Samda Kagbanda et demeurant à Agoè Vakpossito et
Médaho Logossou (36 ans), qui se présente comme Chef de culte, né à Komé
dans le Bénin et domicilié à Ablogamé.
D’après la narration faite de la scène, ils auraient dans un premier
temps prétexté que ce sont des gris-gris (fétiches) qu’ils sont en train
d’envoyer vers l’Europe et donc, ils ne sont pas à même de déballer le
colis.
Mais intransigeants, les agents de la gendarmerie de l’aéroport les
contraindront à ouvrir leur emballage. C’est donc là où on fera la
découverte macabre.
Il a été confié que les enquêtes seront diligentées pour découvrir le
ou les destinataires de ces colis. Et que celui ou ceux-ci devront
également être interpellés et mis à la disposition de la justice
togolaise pour répondre de leur acte, tout comme ce sera le cas pour les
deux personnes interpellés à Lomé.

G.K / F.S (Telegramme228)

 Commentaires