Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Focus Infos N° 117 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Election CENI : Difficile consensus pour les partis de l’opposition parlementaire
Publié le samedi 13 septembre 2014  |  Focus Infos


© aLome.com par Parfait
S.E.M DAMA DRAMANI, Président de l’Assemblée Nationale togolaise.


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

La reprise des travaux de la session extraordinaire des députés à l’Assemblée nationale consacrée à l’élection des membres de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et la Cour constitutionnelle n’a pas eu lieu ce mercredi 10 septembre comme M. Dama Dramani, le président de l’Assemblée nationale l’avait annoncé hier en suspendant la séance. Faute de consensus la séance est de nouveau reportée sur la semaine prochaine pour le temps pour les groupes parlementaires de mettre de l’eau dans leur vin.


La difficulté de parvenir à un consensus réside dans le fait que chaque parti parlementaire a soumis une liste de cinq noms à l’appel à candidature. Ainsi le groupe ANC-ADDI a envoyé 5 noms, l’UFC a envoyé 5 noms, le PDP a envoyé 3 noms et les non inscrits ont envoyé 5 noms. Pour 5 postes à pouvoir, l’opposition parlementaire a déposé près d’une vingtaine de noms d’où la difficulté pour le parlement de trancher dans ce cafouillage. Les partis de l’opposition doivent réussir à harmoniser leur liste et tomber d’accord sur onze (11) noms avant le vote.


La chose parait compliquée dans la mesure où le Comité d’action pour le renouveau (CAR) n’a pas soumis de nom.
Le parti d’Apévon Dodji exige avant le dépôt des noms pour le compte du CAR à la nouvelle CENI la clarification de la position de l’UFC. Pour ce parti, l’UFC en siégeant dans le gouvernement a perdu sa place de parti de l’opposition parlementaire ce que conteste l’UFC.
Devant la difficulté pour ces partis de tomber d’accord sur les noms, le président s’est résolu à reporter de nouveau la reprise des travaux, espérant que le bon sens prévaudra.

Selon le code électoral, cinq (5) des membres de la CENI doivent provenir de l’opposition parlementaire, cinq (5) de la majorité, trois (3) des partis de l’opposition parlementaire, trois (3) de la société civile et un (1) de l’administration publique.

 Commentaires