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Crise au TP3 : Icon Trans se défend
Publié le mercredi 21 janvier 2015  |  AfreePress


© aLome.com par Parfait
Des containers au port autonome de Lomé


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Togo - Depuis quelques jours, la voix monte au parc TP3 du Port autonome de Lomé pour dénoncer la création par les autorités portuaires d’une société de dépotage en lieu et place de ce qui se fait depuis le début dans ce parc.

Par deux fois déjà, les manœuvres et transitaires réunis au sein du Syndicat libre des transitaires et des opérateurs économiques (SYNLITOPE) ont manifesté leur désarroi face à cette réforme qui prend effet à partir du 12 janvier 2015. Pour eux, il s’agit d’un montage des autorités portuaires pour se faire de l’argent et exclure ceux qui travaillent d’habitude dans ce domaine.

Contacté par LCF, les autorités de la nouvelle société de dépotage, Icon Trans Logistics ont déclaré qu’il n’en est rien. La société Icon Trans, selon Lodé Aouissi, président du Conseil de surveillance de ladite société a fait savoir qu’Icon Trans vient organiser le secteur de potage du TP3 et mettre les acteurs en confiance.

« La société ICON Trans est venue pour leur intérêt, ils ne perdront rien en dehors du vol qu’ils ont l’habitude de commettre mais gagneront en avantage. Pour les navires de 20 pieds, ils seront rémunérés à 1 500 francs CFA et à 2 500 pour ceux de 40 pieds et le ticket est pris intégralement en charge. Les chefs d’équipes sont engagés permanemment et immatriculés à la caisse nationale de sécurité sociale », a-t-il précisé.

La décision de réorganiser le travail de dépotage au TP3 est venue selon lui, de ce qui a été constaté dans les pays voisins du Togo, notamment au Ghana et au Bénin, où, a-t-il précisé, le travail de dépotage est bien organisé et les manœuvres sont moins trichés.

Le SYNLITOPE reproche également à la réforme de vouloir recruter 80 à 120 agents sur les plus de 600 qui y travaillent actuellement et laisser les autres sur le carreau.

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