Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

CAP 2015 dénonce et condamne l’attitude des chefs qui empêchent le libre exercice des activités des partis politiques dans leurs cantons
Publié le mercredi 28 janvier 2015  |  CAP 2015


© aLome.com par Lakente Bankhead
CAP 2015 dénonce l`attitude du parti UNIR sur les discussions parlementaires sur la proposition de loi de revision de la constitution.
Lome, le 26 Janvier 2015, Siege de l`Alliance Nationale pour le Changement (ANC). Les responsables de Combat pour l`Alternance Politique en 2015 (CAP 2015) étaient face a la presse hier apres-midi. Ces derniers imputent au parti UNIR (au pouvoir) la responsabilité de l`echec des discussions parlementaires sur la proposition de loi de revision de la constitution.


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

La délégation de CAP 2015 a partagé sa journée du 27 janvier 2015, entre les cantons de Katindi, Sanfatoute et Korbongou dans la préfecture de Tône, et Namoudjoga et Ponio dans la préfecture de Kpendjal.


Malgré les intimidations par certains chefs cantons aux ordres, qui se sont érigés en de véritables petits potentats locaux, les populations sont sorties nombreuses, dans les cantons de Katindi, Sanfatoute et Korbongou dans la préfecture de Tône, et Namoudjoga et Ponio dans la préfecture de Kpendjal pour accueillir Brigitte Kafui ADJAMAGBO-JONHSON et Jean-Pierre FABRE, leaders de CAP 2015 et leur délégation. C’est le cas, notammen,t du chef canton de Korbongou qui a jugé bon, de violer la loi en interdisant, purement et simplement, le meeting prévu, ce jour, à Korbongou.


Décidés à braver l’interdiction du chef, pendant près d’une heure, Brigitte Kafui ADJAMAGBO-JONHSON et Jean-Pierre FABRE ont sillonné le marché à la rencontre des populations acquises à l’alternance politique. Si de tels actes persistent et prospèrent dans notre pays, c’est certainement qu’ils sont organisés et soutenus par le régime RPT/UNIR.

C’est le lieu de condamner ferment l’attitude de ces chefs qui se permettent d’interdire les meetings publics ou les faire tenir hors des agglomérations, empêchant ainsi les populations d’y prendre part..

 Commentaires