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La CPP, la NDP et le PDR appellent au respect et à l’application de la Constitution actuelle
Publié le mardi 10 fevrier 2015  |  AfreePress


© Autre presse par DR
Francis Ekon, le président de la Convergence Patriotique Panafricaine (CPP)


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Togo - Longtemps restés en marge des discussions sur les réformes politiques, la Convergence patriotique panafricaine (CPP), la Nouvelle dynamique populaire (NDP) et le Parti pour la démocratie et le renouveau (PDR), dans un communiqué conjoint intitulé « le temps des réformes », appellent au respect et à l’application de la Constitution actuelle « en attendant les réformes ».

« Ceci n’a rien de partisan, c’est plutôt le propre de la pratique juridique. Aujourd’hui, personne, ni rien ne peut suspendre, ni interrompre l’applicabilité de la Constitution existante. Dans le respect de la Constitution, l’élection présidentielle doit avoir lieu au plus tard dans deux mois » », indique le communiqué.

Ce document signé par Francis Ekon de la CPP, de Gilbert Atsu de la NDP et de Lardja Kolani du PDR, rappelle que la Constitution de 1992 a été « légalement et régulièrement » élaguée de ses « gardes fous » à cause du « diktat »de certains partis « jusqu’au boutistes » qui se sont permis de boycotter les législatives de 2002.

Pour ces trois (3) partis politiques de l’opposition, « la réalisation des réformes, mieux encore leur réussite soulève le problème de temps ».

« S’il est possible dans l’idéal de faire des réformes même dans quelques jours, est-il envisageable en l’état actuel des clivages et des positions figées qu’un consensus puisse se dégager, ouvrant la voie aux réformes ? Toutes ces occasions ratées depuis 2006 n’ont-elles pas suffisamment cristallisé des points de vue et fermer pour un temps encore, la porte à un espoir de consensus qui se veut actuellement urgent et immédiat ? », se demandent-ils.

Aux termes de l’article 59 de la Constitution en vigueur, l’élection présidentielle aura lieu à un scrutin à un seul tour. Et le président de la République actuel, Faure Gnassingbé au pouvoir depuis 2005, peut se représenter autant de fois qu’il veut, la Constitution ne limitant pas le nombre de mandats présidentiels.

Telli K.

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