Togo : du 25 au 27 Octobre, 2ème tour de Sommet de l’UEMOA : le président togolais plaide pour la prise en compte des questions de sécurité et de paix

Politique

Publié le samedi 26 octobre 2013 | Xinhua

© AFP par SEYLLOU
Ouverture de la 17ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d`Etat et de Gouvernement de l`UEMOA
Jeudi 24 octobre 2013. Dakar. Plusieurs chefs d`Etats sont arrivés à Dakar où ils prendront part à la 17ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d`Etat et de Gouvernement de l`UEMOA et au sommet extraordinaire de la CEDEAO.Photo :Faure, Gnassingbé, président de LOME

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DAKAR - Le président togolais, Faure Gnassingbé, a déclaré jeudi à Dakar que la prise en compte des questions de sécurité et de paix au sein de l'espace de l'Union économique ouest-africaine(UEMOA) est "le seul moyen d'asseoir notre intégration sur des bases saines et durables". Selon le président en exercice de l'UEMOA, dont le 17ème sommet des chefs de l'Etat s'est ouvert le même jour à Dakar, les Etats membres doivent "accélérer le développement et la mise en place de mécanismes d'alertes, de préventions, ainsi que des solutions efficaces pour garantir la stabilité des investissements et la continuité des activités économiques et financières même en période de crise". Faure Gnassingbé a salué le retour de la paix au Mali, ajoutant que "pour préserver et rendre durable cet équilibre retrouvé, il est essentielle que nous soyons vigilants et plus que jamais solidaires". Le président togolais a salué le processus électoral en Guinée-Bissau et a exhorté l'ensemble des parties prenantes à contribuer activement à son succès, tout en indiquant que l'UEMOA va financer comme la CEDEAO, les élections en Guinée-Bissau. "Nous devons tirer les leçons de nos expériences et créer toutes les conditions d'un avenir stable et prospère pour nos populations. Nous devons agir pour que la croissance économique que nous souhaitons atteindre au sein de l'union se traduise de manière concrète dans les réalités quotidiennes de nos concitoyens ", a conclu Faure Gnassingbé.

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