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Danse : Festival « Assassan », un lieu de métissage et de brassage d’idées chorégraphiques
Publié le lundi 11 mai 2015  |  Togo Portail


© aLome.com par Parfait
Festival de danse ASSASSAN, édition numéro 1, les 29, 30 avril et 1er mai 2015 au Goethe-Institut de la capitale togolaise‏.
Lomé, les 29, 30 avril et 1er mai 2015. Goethe-Institut. Spectacles de danse, performances de rue, connférences-débats ont été au menu de cette grand-messe de la danse au Togo, imaginée par la Compagnie DZIDZO TOGO. "Assassan Festival" a été la plateforme représentant le travail chorégraphique des compagnies invitées dans cette première édition du Festival et dont l’objectif est la transmission de nouvelles approches scéniques et le développement de la scène de la danse togolaise.


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C’était un grand moment pour la danse togolaise voire africaine ! La période du 29 avril au 1er mai dernier. Que les amateurs de l’art de la danse se sont réjouis ! Plusieurs rendez-vous très enrichissants et captivants étaient en effet inscrits au cœur de la première édition du festival « Assassan », à l’initiative de la Compagnie Dzidzo Danse Théâtre, avec le soutien des partenaires comme le Fonds d’Aide à la Culture et le Goethe Institut de Lomé. Ce dernier a abrité l’événement qui, à son ouverture, le 29 avril – journée internationale de la Danse – a fait l’honneur au chorégraphe Francis Djidjo-Blassou pour « Sitou ».


La pièce « Sitou »

Avec son solo « Sitou », il entonne le temps de l’émotion qui va être le maitre-mot durant les trois jours du festival.

Dans l’architecture intimiste et vide de la pièce, on y découvre un rapport interrogateur du danseur à son quotidien, entre les gestes rationnels de l’individu ordinaire, lambda et le débordement incontrôlable de la vie intérieure. Y voir un jeune danseur –chorégraphe, qui a fait le choix de s’installer en Belgique depuis plusieurs années, donne sans doute à cette pièce un sens et un relief particuliers. Mais sa démarche constitue une source de libération de ses questionnements.


Donc une perpétuelle quête de liberté qui lui permet d’avancer vaille que vaille quitte à enterrer les questionnements restés sans réponse. En voilà une belle conduite de vie pour ce Togolais de Belgique, dont la présente chorégraphie pourrait être lue comme un témoignage du ressenti de l’émigré, dans son « ici » et son « ailleurs », actuels, sinon son espace de vie d’aujourd’hui, autour du souvenir et de la mémoire.


Et voir danser Francis Djidjo Blassou « ici », c’est-à-dire le Togo d’où il est parti, est un enchantement, tant le retour au pays, s’est opéré avec dans les valises un projet de festival aussi émouvant que les gestes dont il est porteur sur scène : « Assassan » (Ndlr : Mélange, tissage, métissage, melting-pot en Minan), un festival qui se veut un rendez-vous, un brassage, un métissage des idées chorégraphiques issues de plusieurs horizons. Cette toute première édition en était la preuve en rassemblant des compagnies de danse du Togo et de la Belgique. Notamment, Zondo Dance Théâtre, Woenyo, Cécilia Lisa Eliceche.
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