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Me Apévon: ’La contestation de la rue a montré ses limites, changeons de méthode’
Publié le mercredi 13 mai 2015  |  Togo breaking news


© Autre presse par Luc Koula et Parfait
Faure Gnassingbé exerçant son droit de vote dans la capitale Togolaise
25 avril 2015. Lomé - Ecole primaire du CAMP GGE. Le Président sortant du Togo a voté très tôt en ce jour d`élection présidentielle, et attend sereinement le résultat des urnes.


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Le Comité d’Action pour le Renouveau s’est prononcé mercredi sur le processus électoral qui a abouti à la réélection de Faure Gnassingbé pour un nouveau mandat de 5 ans. En conférence de presse mercredi, le CAR présidé par Me Paul Dodji Apévon a estimé qu’à peine un togolais sur deux s’est déplacé pour le scrutin présidentiel du 25 avril.


Les dirigeants du CAR disent constater que tout ce que les populations redoutaient, au cas où le scrutin viendrait à se tenir sans les réformes a été confirmé à l’issue du processus électoral.

Dans sa déclaration lue devant la presse, le parti de Me Dodji Apévon relève qu’au regard des résultats, aucun des candidats à ce scrutin n’a pu recueillir 35% des voix du nombre des électeurs inscrits.

« Ces deux constats prouvent que si l’opposition s’était soudée pour obtenir les deux tours, le scrutin aurait débuché sur l’alternance », précise Me Apévon qui déplore que les populations qui se sont prononcées à 85% pour les réformes n’aient pas été écoutées.

Pour le CAR, la situation politique dramatique à laquelle les populations sont confrontées à la suite du scrutin raté du 25 avril 2015 résulte de deux pratiques politiques pernicieuses.

« Il s’agit d’une part, de la prose en otage du pays par le parti Etat, UNIR qui continue de confisquer les richesses nationales, les emplois publics, les marchés publics, les institutions et autres instruments de l’Etat pour conserver le pouvoir en empêchant l’alternance. D’autre part, du maintien d’un courant politique d’inspiration marxiste qui recourt à des manœuvres de blocage des réformes, au fanatisme, à l’intimidation par la violence, à l’exploitation des instincts et de l’ignorance des masses populaires pour leur servir des contre-vérités », déplore Me Apévon.
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