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Hôpital d’Afagnan/D’une prise en charge complète à un service minimum qui ne dit pas son nom, les patients gagnés par la psychose d’une grève du personnel
Publié le jeudi 14 mai 2015  |  Telegramme 228


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Le problème serait-il résolu ? Une issue est-elle trouvée ? Bref y a-t-il plutôt une bombe à retardement ? Nombreux sont ces questions que se posent les patients qui traversent le seuil de l’hôpital d’Afagnan pour se faire prendre en charge.
Cela fait exactement un mois et demi que le personnel de l’hôpital d’Afagnan a menacé son employeur d’un mot d’ordre de grève ; et dans la foulée, il a nécessité une attente qui, depuis le 30 mars dernier, est resté sans suite.
Une femme surprise en discussion avec son mari devant cet hôpital se plaignait du fait que son enfant accidenté depuis quelques mois n’est pas suivi par les médecins. Pour elle, ceci est due aux problèmes de grève qui reste depuis fort en suspend. Pour un jeune homme qui a subi la fixation dans cet hôpital et qui vient souvent pour la rééducation, les docteurs et infirmiers ne font pas grève mais le problème est qu’ils avancent les jours de rendez-vous et les prises en charge sont diminuées. Les rendez-vous qui devraient se tenir entre une semaine se tiennent maintenant sur un mois.

En effet, le Synphato regroupant tout le personnel de l’hôpital d’Afagnan se basant sur le fait que leur demande d’augmentation de salaire, de primes de gardes et la mise en application de la convention interprofessionnelle étaient restées insatisfaites, a déposé le 19 mars dernier un préavis de grève de 48 heures les 30 et 31 mars 2015 sur la table de leur employeur.


Ainsi ayant vu de loin le mal venir, le directeur de l’hôpital, Frère Ignace Nabédé, a appelé ses employés à une réunion qui a débouché sur une négociation qui a démarré depuis le 30 mars 2015. Selon les membres du Synphato, il faudrait que les primes de gardes qui sont de 2000 F cfa soient augmentées à 3000 F cfa comme dans les autres hôpitaux et que les primes de risques de contagion soient aussi vues à la hausse.


Et après deux semaines de discussion, les pourparlers ont été arrêtés pour cause de l’élection présidentielle. Ainsi, les discussions qui sont sensées être reconduites dès le 28 avril tardent jusqu’à présent à reprendre.
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