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Renforcement de la lutte contre la criminalité des espèces sauvages
Publié le vendredi 25 septembre 2015  |  Togo Breaking News


© aLome.com par Parfait
Dégâts des dernières inondations engendrées par de fortes pluies dans le sud Togo, depuis le début du mois de juin 2015
Lomé, 16 juin 2015, Quartier Cacaveli. Même après les pluies, les eaux continuent de cohabiter avec les habitants dans cette partie de Lomé.


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La criminalité liée aux espèces sauvages figure au rang du trafic des stupéfiants et de la traite des êtres humains et peut représenter une valeur de 20 milliards par an, tandis que le commerce illégal du bois coûte à l’économie mondiale entre 300 et 100 milliards de dollars par an.


Cette activité englobe également un autre fléau qui est la corruption. Des pots-de-vin étant versés à toutes les étapes du processus, de l’exploitation de l’origine d’un produit à sa mise sur le marché.

Pour lutter contre ce phénomène, l’ONU a mis sur pied en 2010, le Consortium international de lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages (ICCWC).

Le Togo n’est pas épargné par la criminalité liée aux espèces phoniques et a pris conscience des enjeux actuel de ces crimes. Le gouvernement a demandé la mise en œuvre de la boite à outils du Consortium international de lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages.

Une session d’internalisation de cette boite à outils, a lieu mercredi à Lomé sous l’égide du ministère de l’environnement et des ressources forestières. Il s’agit d’une ressource technique mise à la disposition des Etats souhaitant de faire des analyses des différents domaines à savoir la législation, la prévention, la sensibilisation.

« Nous saluons ces efforts parce que c’est un geste courageux, fort, sage. Cela veut dire que l’Etat togolais a envie de faire l’état des lieux de ses capacités pour identifier ce qui va et ce qui ne va pas dans la lutte contre ce phénomène de plus en plus grandissant au niveau continental », a déclaré Asma Sainkoudje, la Coordinatrice Région Afrique de l’Ouest et du Centre de l’ONUDC.
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